Les Frenchies en NBA

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Télévision : les coulisses du documentaire de l’Equipe TV sur les Français de la NBA (BUSA)








Jeudi 16 février à 21h00, l’Équipe TV diffusera le premier épisode d’une série documentaire intitulée « Dans leur monde ». Ce 90 minutes est une plongée dans les coulisses du monde sportif et le premier numéro est consacré à la NBA.

Plus précisément aux Français de la NBA. Gaëlle Millon, journaliste et présentatrice de la chaîne est donc allée pendant une semaine aux Etats-Unis à la rencontre de Tony Parker, Nicolas Batum, Ian Mahinmi, Rodrigue Beaubois, Boris Diaw et Joakim Noah.

Passionnée de basket, elle raconte pour Basket USA, son aventure américaine avec 6 Frenchies de la NBA.

D’où vient cette idée de suivre les français de la NBA pendant une semaine ?

Dans le cadre de l’émission « Dans leur monde », qui sera composée de trois volets, l’idée était de commencer par les Français de la NBA. On les avait beaucoup suivis pendant le lock-out et il était possible d’aller les voir « assez facilement ». De plus, ce sont des figures emblématiques du sport en France. Les deux autres numéros seront consacrés au football, puis aux Jeux olympiques.

Comment ce périple s’est-il organisé ?

Très rapidement. On s’est décidé assez tard donc ça s’est fait dans un laps de temps assez court. Nous sommes partis le 21 janvier et nous sommes revenus le 29. J’ai regardé dans quel sens le périple aurait lieu, surtout par rapport aux matches programmés. C’est d’ailleurs le calendrier qui a déterminé l’ordre des villes. Une fois le programme mis en place, on a pris contact avec les agents des joueurs. Avec Tony Parker, Ian Mahinmi, Nicolas Batum et Rodrigue Beaubois, on est passé par les agents. Pour Boris Diaw, cela s’est fait directement avec lui. Et le seul qu’on n’avait pas réussi à mettre en place avant de partir, c’était Joakim Noah. Mais on savait que, connaissant l’organisation de la NBA, on pourrait au moins le voir avant et après le match.

Et au niveau de rythme, il y a quand même eu 5 villes à faire en 7 jours !

C’était un peu dur (rires). On a pris le décalage horaire en plein visage. On est arrivé à Chicago où il faisait moins 11 degrés avec de la neige. On a quasiment voyagé tous les jours donc le rythme a été intense. Mais c’était intéressant car nous nous sommes mis au rythme des joueurs. Eux font cela pendant 6 mois de l’année. Ils changent tous les jours ou presque de ville, de fuseaux horaire et de climat. On est donc encore plus rentré dans leur univers.

C’était une expérience unique de vivre comme cela…

Pour une fan de basket comme moi, oui clairement. C’est encore plus unique par rapport aux baskets français et européen. La NBA est tellement ouverte vers l’extérieur. On peut faire beaucoup de choses qu’on n’oserait pas imaginer en Pro A. Être dans le vestiaire seulement une heure avant le début d’un match, je n’ai jamais vu ça. Cela doit être agréable de travailler dans ses conditions, au quotidien et surtout là-bas.

Ça ne vous donne pas des idées pour faire le même genre de concept mais avec d’autres joueurs NBA ?

Pour l’instant on ne l’envisage pas mais je pense que ce serait possible. Cela ne me paraît pas impossible à faire. Après, on a pu faire beaucoup de choses car ces joueurs-là, on les connaît. Et on a une relation de confiance avec eux. Si demain, on fait le même documentaire avec des stars de la NBA, je ne sais pas si ce serait aussi simple à faire. Comme les joueurs savaient qu’on venait, on a fait beaucoup de choses en très peu de temps. Avec Kobe Bryant et LeBron James, je ne suis pas sûr qu’ils me proposeraient de manger avec eux (rires). Mais l’organisation de la NBA rend cela faisable.

Le but de l’émission est de faire découvrir le quotidien des joueurs Français de la NBA…

C’est ça, et en plus, même si les saisons se ressemblent, celle-là est particulière. Donc on va vivre leur quotidien qui est assez fou. J’entends souvent des footballeurs se plaindre de jouer 3 matches en 10 jours avec peu de récupération. Eux, les joueurs NBA, jouent presque tous les jours. La semaine où nous étions-là, Boris s’est envolé un soir pour Washington et il a joué le lendemain et le surlendemain. Donc c’est juste un système hallucinant et en même temps très bien organisé. Le sportif au sens large reste au centre du sportif, au sens du joueur. Il est toujours concentré sur les matches, les entraînements et ses performances.

À quoi peut-on s’attendre pour ce documentaire de 90 minutes ?

À des sportifs extrêmement disponibles. On les a tous vus des jours ou des lendemains de matches et j’ai été bluffée par cela. Alors que parfois, nous étions à quelques heures du début d’un match très important. Ou encore Tony Parker qui, au bord du parquet, une heure avant le début du match est très détendu et disponible. Ils ont réussi à nous donner du temps dans une saison où ils n’en ont pas.

Propos recueillis par Jonathan Demay (BUSA)

HORAIRES*
Jeudi 16 février : 21h00, puis rediffusion à 00h30
Samedi 18 février : 14h00, puis 1h00 du matin.
Dimanche 19 février : 12h00, puis 21h00.
Dimanche 26 février : 00h30.
*diffusion en ligne sur L’Equipe.fr en trois parties (3 x 30 min) dès le vendredi 17 février.
Jeudi 16 février à 21h00, l’Équipe TV diffusera le premier épisode d’une série documentaire intitulée « Dans leur monde ». Ce 90 minutes est une plongée dans les coulisses du monde sportif et le premier numéro est consacré à la NBA. Plus précisément aux Français de la NBA. Gaëlle Millon, journaliste et présentatrice de la chaîne est donc allée pendant une semaine aux Etats-Unis à la rencontre de Tony Parker, Nicolas Batum, Ian Mahinmi, Rodrigue Beaubois, Boris Diaw et Joakim Noah. Passionnée de basket, elle raconte pour Basket USA, son aventure américaine avec 6 Frenchies de la NBA. D’où vient cette idée de suivre les français de la NBA pendant une semaine ? Dans le cadre de l’émission « Dans leur monde », qui sera composée de trois volets, l’idée était de commencer par les Français de la NBA. On les avait beaucoup suivis pendant le lock-out et il était possible d’aller les voir « assez facilement ». De plus, ce sont des figures emblématiques du sport en France. Les deux autres numéros seront consacrés au football, puis aux Jeux olympiques. Comment ce périple s’est-il organisé ? Très rapidement. On s’est décidé assez tard donc ça s’est fait dans un laps de temps assez court. Nous sommes partis le 21 janvier et nous sommes revenus le 29. J’ai regardé dans quel sens le périple aurait lieu, surtout par rapport aux matches programmés. C’est d’ailleurs le calendrier qui a déterminé l’ordre des villes. Une fois le programme mis en place, on a pris contact avec les agents des joueurs. Avec Tony Parker, Ian Mahinmi, Nicolas Batum et Rodrigue Beaubois, on est passé par les agents. Pour Boris Diaw, cela s’est fait directement avec lui. Et le seul qu’on n’avait pas réussi à mettre en place avant de partir, c’était Joakim Noah. Mais on savait que, connaissant l’organisation de la NBA, on pourrait au moins le voir avant et après le match. Et au niveau de rythme, il y a quand même eu 5 villes à faire en 7 jours ! C’était un peu dur (rires). On a pris le décalage horaire en plein visage. On est arrivé à Chicago où il faisait moins 11 degrés avec de la neige. On a quasiment voyagé tous les jours donc le rythme a été intense. Mais c’était intéressant car nous nous sommes mis au rythme des joueurs. Eux font cela pendant 6 mois de l’année. Ils changent tous les jours ou presque de ville, de fuseaux horaire et de climat. On est donc encore plus rentré dans leur univers. C’était une expérience unique de vivre comme cela… Pour une fan de basket comme moi, oui clairement. C’est encore plus unique par rapport aux baskets français et européen. La NBA est tellement ouverte vers l’extérieur. On peut faire beaucoup de choses qu’on n’oserait pas imaginer en Pro A. Être dans le vestiaire seulement une heure avant le début d’un match, je n’ai jamais vu ça. Cela doit être agréable de travailler dans ses conditions, au quotidien et surtout là-bas. Ça ne vous donne pas des idées pour faire le même genre de concept mais avec d’autres joueurs NBA ? Pour l’instant on ne l’envisage pas mais je pense que ce serait possible. Cela ne me paraît pas impossible à faire. Après, on a pu faire beaucoup de choses car ces joueurs-là, on les connaît. Et on a une relation de confiance avec eux. Si demain, on fait le même documentaire avec des stars de la NBA, je ne sais pas si ce serait aussi simple à faire. Comme les joueurs savaient qu’on venait, on a fait beaucoup de choses en très peu de temps. Avec Kobe Bryant et LeBron James, je ne suis pas sûr qu’ils me proposeraient de manger avec eux (rires). Mais l’organisation de la NBA rend cela faisable. Le but de l’émission est de faire découvrir le quotidien des joueurs Français de la NBA… C’est ça, et en plus, même si les saisons se ressemblent, celle-là est particulière. Donc on va vivre leur quotidien qui est assez fou. J’entends souvent des footballeurs se plaindre de jouer 3 matches en 10 jours avec peu de récupération. Eux, les joueurs NBA, jouent presque tous les jours. La semaine où nous étions-là, Boris s’est envolé un soir pour Washington et il a joué le lendemain et le surlendemain. Donc c’est juste un système hallucinant et en même temps très bien organisé. Le sportif au sens large reste au centre du sportif, au sens du joueur. Il est toujours concentré sur les matches, les entraînements et ses performances. À quoi peut-on s’attendre pour ce documentaire de 90 minutes ? À des sportifs extrêmement disponibles. On les a tous vus des jours ou des lendemains de matches et j’ai été bluffée par cela. Alors que parfois, nous étions à quelques heures du début d’un match très important. Ou encore Tony Parker qui, au bord du parquet, une heure avant le début du match est très détendu et disponible. Ils ont réussi à nous donner du temps dans une saison où ils n’en ont pas. Propos recueillis par Jonathan Demay (BUSA) HORAIRES* Jeudi 16 février : 21h00, puis rediffusion à 00h30 Samedi 18 février : 14h00, puis 1h00 du matin. Dimanche 19 février : 12h00, puis 21h00. Dimanche 26 février : 00h30. *diffusion en ligne sur L’Equipe.fr en trois parties (3 x 30 min) dès le vendredi 17 février.' + form1.Cmtaire.value;}


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