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NBA History

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Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Giannis ça me choque pas, il est en plein milieu de sa carrière et il a déjà bien garni l'armoire à trophées.
Par contre, je place Curry devant Durant car celui ci ne doit ses deux titres qu'à Curry justement smiley.gif


Beaman
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Anonyme a dit : Je trouve ce top pas mal, le mien ne sera pas trop différent du tiens, je mettrais Olajuwon plus haut par contre smiley.gif


Beaman


Merci pour ta réponse. J'attends à me faire questionner sur les joueurs actuels que certains pourraient trouver trop haut. Mais perso pour moi Giannis KD et Curry c'est obligatoirement top 20. Je comprends que ça puisse choquer de voir Giannis devant Dirk par exemple. Mais le titre de 2021 l'a fait passer devant. Double MVP, défenseur de l'année, ça mets dans le rétro l'allemand pour moi. Même si les totaux sont bien plus élevés pour ce dernier. Ce qui est normal.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Je trouve ce top pas mal, le mien ne sera pas trop différent du tiens, je mettrais Olajuwon plus haut par contre smiley.gif


Beaman
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
By Fred
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Excercice toujours difficile à faire, mais je me lance sur un petit top 30 all time. Vous pouvez me clasher, mais vous pouvez aussi faire le votre

1- Jordan
2- Lebron
3- Abdul Jabbar
4- Magic
5- Bill Russell
6- Bird
7- Duncan
8- Shaq
9- Chamberlain
10- Kobe
11- Olajuwon
12- Moses Malone
13- Jerry West
14- KD
15- Curry
16- Karl Malone
17- Giannis
18- Havlicek
19- Dirk
20- Oscar Robertson
21- Isiah Thomas
22- Pippen
23- Cousy
24- Wade
25- Julius Erving
26- Stockton
27- David Robinson
28- Barkley
29- Baylor
30- Garnett

Honorable mentions : Petit - Iverson- Reed - Ewing - Barry - Elvin Hayes

Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
La vieillesse, ce naufrage.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme


Agrandir
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
NBA Action 1998 à 35min30 sur cette vidéo et surtout le dunk PATATOR du Shaq à 1h32 et 25 sec. Plein les yeux !
https://www.youtube.com/watch?v=1BFjv7_lv6E



+ Kobe Bryant invité à Canal+ en 98, à 36min30
https://www.youtube.com/watch?v=7XdhCnLJlPw
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Quid du Rip City revival Infâme ? Tu las vu ? Et quest-ce que ten as pensé ?

JB
Mon2mer2
x
(Mythe)
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Karlone a dit :
dreemtim a dit : comique.gif
Il avait Parkinson, je l'ignorais
RIP


Il faisait pas mal de peine.
Il assistait toujours à de nombreux matchs des Jazz mais tu le sentais complément ailleurs. Il a très vite sombré après sa fin de carrière de coach.


Utah-Jazz-Jerry-Sloan-Deron-Williams-.jp
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Depuis 84, à chaque finale NBA il y a un joueur qui a été coéquipier de Shaq à un moment de sa carrière !
Karlone
“He a bitch !” - Green on teammate Durant 11/12/18
(Mythe)
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dreemtim a dit : comique.gif
Il avait Parkinson, je l'ignorais
RIP


Il faisait pas mal de peine.
Il assistait toujours à de nombreux matchs des Jazz mais tu le sentais complément ailleurs. Il a très vite sombré après sa fin de carrière de coach.
Beaman
Houston fait peur !!
(Dieu vivant du forum)
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Un grand coach, RIP Sloan !!!
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
RIP coach. triste.gif
dreemtim
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(Dieu vivant du forum)
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comique.gif
Il avait Parkinson, je l'ignorais
RIP
Karlone
“He a bitch !” - Green on teammate Durant 11/12/18
(Mythe)
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Au delà de tout ça, pour moi, la perf ultime de Sloan reste sa saison de coaching 2003/04.

Les Jazz viennent de voir partir Stockton et Malone. Les horizons de titre sont désormais bien bien lointains. Malgré ça, Sloan continue d être fidèle à la franchise et va conduire une équipe des Jazz ultra faible à un bilan positif.

Pour rappel les 5 titulaires les plus présents (car il y avait en plus des blessures) :

Kirilenko
Stevenson
Ostertag
Bell
Arroyo

42 victoires.
Karlone
“He a bitch !” - Green on teammate Durant 11/12/18
(Mythe)
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Décès de Sloan.

Un grand joueur et un immense coach qui disparaît.
2x AS
6x All-Defensive
4eme coach ayant gagné le plus de matchs
6eme en % de wins.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Anonyme a dit : Alors attention avec le jeu aérien. Si Jordan a réussi des arabesques mémorables, s'il arrivait lancé dans les raquettes avec une bonne lecture des défenses, c'est surtout grâce à son premier pas qui clouait sur place son défenseur direct. Ni Wilkins, ni Drexler, ni Carter n'avait cette qualité, et la possibilité de s'exprimer avec la même "liberté". Jordan, c'est Wilkins/Drexler avec le premier pas d'Isaiah Thomas ou de Tim Hardaway.

JB


C'est vrai, il y avait ça. Aussi. smiley.gif
Jordan était capable d'exploser quelle que soit sa position par rapport au panier. Il pouvait du coup utiliser plus souvent son incroyable détente.
Si Jordan a autant dominé le jeu à son époque, il n'y a pas de secret, c'est parce qu'il avait les qualités pour. C'était un tueur en iso, bon à mi-distance et incroyable d'explosivité dans un petit périmètre. Pour l'époque, Jordan allait trop vite et trop haut puis est devenu en plus assez fort (physiquement).
Quand je regarde ses highlights, comme pour Olajuwon, ça me donne l'impression de quelqu'un qui a parfois des appuis de joueur de foot, dans le corps d'un joueur de basket.
Être rapide sur ses appuis est une dimension athlétique largement sous-côtée par les amateurs de sport qui se concentrent trop sur la vitesse ou la hauteur. Pourtant, c'est l'une des armes principales de Curry, qu'il exploite à fond la caisse.

Jordan a selon moi le jeu le plus aérien de l'histoire et de très, très loin. Il était aérien dans pratiquement tout ce qu'il faisait.
Avant lui il y avait déjà des joueurs très aériens, à son époque aussi et depuis son époque encore plus. Un Westbrook n'a absolument rien à envier à Jordan en terme de verticalité et même de vitesse. Pourtant, hormis ses gigantesques tomars (et c'est pour un top 3 All-Time avec VC et LBJ) et malgré ses qualités hors-normes, Westbrook est incapable de reproduire ce que Jordan pouvait réaliser dans une multitude de situations diverses.
Et en effet, c'est parce qu'au-delà de ses qualités athlétiques brutes, Jordan avait aussi tout un tas de qualités (premier pas, appuis, agilité, équilibre en l'air, mains démesurées, instinct) qui lui permettaient de faire à peu près tout ce qu'il voulait en l'air.

Quand tu enchaines des highlights de plusieurs grands high-flyers c'est extrêmement parlant. Jordan était et reste encore unique.
Mais ce n'est que mon avis et, bien sûr, cela ne veut pas dire qu'il n'a pas été très largement dépassé dans de tres nombreux autres domaines.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Je ne savais pas que c'était l'objet de ce programme.
Perso, quand j'ai entendu parler du documentaire "the last dance", j'attendais forcement un truc qui retrace la dernière saison des Bulls.
Parler des saisons précédentes est un plus parce que ça permet de mieux mesurer les enjeux de cette dernière danse, en présentant les différents personnages au fur et à mesure qu'ils rejoignent Jordan (et tous méritent leur focus).

Pour ce qui est de valoriser Jordan, je sais pas.
Est-ce qu'il apparaît sympathique dans ce documentaire? Je ne trouve pas. Est-ce que t'as envie d'avoir sa vie? Non plus. Est-ce que t'as envie de l'avoir comme pote? Même pas...
Le programme aborde des sujets que l'on connait déjà et Jordan livre sa vision des choses. Est-ce que ça le met en valeur? Bah... Ça dépend peut-être uniquement des gens qui regardent et de ce qu'ils en pensent.
Pour ma part, je l'ai trouvé touchant et sincère ou arrogant, jusqu'au boutique et de mauvaise foi, selon les sujets abordés.
Il m'a aussi donné l'impression d'être dans sa bulle, prisonnier à la fois de son statut et de ses obsessions.
Vraiment, je n'ai pas eu l'impression que ce reportage mettait l'homme en valeur. Je pense qu'on l'a vu tel qu'il est/était et c'est pas toujours glorieux. Mais ce n'est que mon avis.

En ce qui concerne ses accomplissements, oui, c'était une longue suite de succès. Mais encore une fois, c'est sa carrière qui veut ça. On peut le retourner dans tous les sens, Jordan a marché sur la ligue et régné sans partage dans les 90s (quand il était là).

Moi ce qui m'a surtout interpellé, c'est à quel point ce gars peut continuer de fasciner. Même des gens, jeunes ou moins jeunes, qui ne connaissent rien au basket se sont passionnés pour ce reportage.
Alors que le sujet c'est... la NBA d'il y a 20-30 ans. Si encore c'était actuel mais même pas.
Peut-être que c'est juste du bon marketing : une période propice, une bonne com' et la hype qui fait le reste.
Ou peut-être que ce mec, pour ce qu'il est, dans le bon comme dans le mauvais, fascine et fascinera toujours autant tout simplement parce qu'il est unique (pas au sens il est meilleur que les autres mais plutôt au sens il est le seul à se comporter comme ça).
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
L'objet de ce programme n'était pas de faire un panorama de la carrière de MJ, il était censé apporter un éclairage sur les coulisses de cette dernière saison. Pourquoi parler des saisons précédentes ? Pourquoi même, à la limite, parler de ce qu'il se passe sur le terrain alors que ça ne devait pas être le sujet ? Parce que les producteurs sont deux proches de MJ et que l'émission ne visait qu'à valoriser Jordan. Même ses défauts sont présentés comme les traits de caractère d'un vrai compétiteur, un type qui cherche la gagne avant tout.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Pour la finale 98, le documentaire aurait dû se finir quand les Bulls sont menés de 3 points à 41 secondes de la fin du G6.

Ainsi, ils n'auraient pas montré que Chicago a finalement gagné le match et le titre alors qu'aucun joueur de Chicago, autre que Michael Jordan, n'a touché le ballon au cours de ces 41 dernières secondes.

Ça aurait fait moins "mascarade". smiley.gif
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Je comprends que ça ressemble à une grosse pub, mais....... La carrière de MJ, en tous cas toute la seconde moitié de sa carrière, c'est une succession de victoire. Entre 91 et 98, il joue "7" saisons, gagne 6 titres NBA, 4 MVP et l'or olympique avec la Dream Team.
C'est difficile de parler de faire un documentaire sur lui et de ne parler que de ses échecs. Ou alors ça dure 1h30. smiley.gif
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Ses critiques sont fondées, en particulier sur le fait que cette mascarade n'est pas un documentaire mais une très longue publicité. Et comme lui je me demande pourquoi le refus de jouer de Pippen en 94 est mentionné dans une émission censée parler de la saison 98.
dreemtim
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(Dieu vivant du forum)
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Gros tacle d'Horace Grant sur The Last Dance, le mec qui a juste fait un triplé avec les Bulls (je dis pas qu'il a pas le droit de critiquer, ça m'étonne simplement)

Il a peut-être jamais accepté le sweep de 96 smiley.gif
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
James, il a pris sa destinée en main.
Il est parti au bout de 7 ans, là où Drexler et Garnett ont attendu 12 saisons, et surtout il s'est assuré d'aller dans un environnement où il était sur de jouer (gagner?) Le titre...
J'ai été surpris du coup quand il a quitté Cleveland pour LAL. Un peu moins quand Davis a voulu le rejoindre.
The Number 9

(Mythe)
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De mémoire c'est ça, via trade (Garnett c'est sûr, Allen je suis moins affirmatif).
On est plus dans la configuration de Drexler, certes c'est là où Garnett voulait aller et le trade est assez défavorable pour les Wolves. Mais encore faut-il le monter.

Les 3 amigos, on parle de 2 FA qui en rejoigne un 3e. C'est quand même peu comparable, quand bien même celui-ci découlerait de la réunion des Celtics.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Anonyme a dit : Disons que ça sest pas fait de façon aussi abrupte Karlito, mais progressivement. Ils ont à chaque fois poussé le bouchon un peu plus loin smiley.gif
Pour moi le premier a été celui de Houston, qui a ouvert la possibilité aux légendes sans bagues et vieillissantes de se coaliser pour tirer leur révérence en beauté après quinze années a batailler dans la ligue.

Celui de Houston a « permis » celui des Lakers en 2004. Ces deux là nont rien donné, bien heureusement concernant le second cas. Puis sont arrivés les Celtics des trois connardos car aucun de ces trois là navait plus la moindre chance de gagner quelque chose en jouant les premiers rôles dans une équipe. On connaît le résultat.

On monte encore dun cran avec los tres amigos leurs mères qui nous lont collée profonde en 2013 avant de revenir sur terre la saison suivante. Le meilleur joueur de la ligue depuis plusieurs saisons qui rejoint deux autres top10, impossible à battre.

Sauf que les USA est le pays où les fils doivent faire mieux que leurs pères. Alors on a eu le droit à lune des plus belles putasserie de lhistoire de la NBA qui en compte quelques unes. Et là franchement, je vois pas comment une équipe pourra jamais atteindre ou surpasser un tel niveau.


Le Big 3 des Cs, c'est pas le staff qui le met en place avec des trades?
Pour moi, c'est vraiment avec les 3 amigos que des stars dans leur prime ont commencé à décider avec qui et où ils allaient joué.
Durant a effectivement poussé le bouchon encore plus loin en rejoignant carrément la meilleure équipe (et le double MVP) puis Irving dans une franchise où il ne voulait pas forcément aller...
Franchement je me souviens plus de comment ça s'était passé pour les Celtics...
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
D'un autre côté, je comprends les joueurs.
Ils ont le pouvoir et donc la possibilité de jouer entre potes... Pourquoi se priver?
C'est pas toujours cool pour les fans mais c'est ainsi.
Au final, Anthony Davis qui rejoint James ou KL qui ramène PG dans ses bagages, ça ne choque même plus.
Normal, James a rejoint Wade et Durant a signé dans la team avec le meilleur bilan de l'histoire. Plus rien ne peut nous surprendre.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Disons que ça sest pas fait de façon aussi abrupte Karlito, mais progressivement. Ils ont à chaque fois poussé le bouchon un peu plus loin smiley.gif
Pour moi le premier a été celui de Houston, qui a ouvert la possibilité aux légendes sans bagues et vieillissantes de se coaliser pour tirer leur révérence en beauté après quinze années a batailler dans la ligue.

Celui de Houston a « permis » celui des Lakers en 2004. Ces deux là nont rien donné, bien heureusement concernant le second cas. Puis sont arrivés les Celtics des trois connardos car aucun de ces trois là navait plus la moindre chance de gagner quelque chose en jouant les premiers rôles dans une équipe. On connaît le résultat.

On monte encore dun cran avec los tres amigos leurs mères qui nous lont collée profonde en 2013 avant de revenir sur terre la saison suivante. Le meilleur joueur de la ligue depuis plusieurs saisons qui rejoint deux autres top10, impossible à battre.

Sauf que les USA est le pays où les fils doivent faire mieux que leurs pères. Alors on a eu le droit à lune des plus belles putasserie de lhistoire de la NBA qui en compte quelques unes. Et là franchement, je vois pas comment une équipe pourra jamais atteindre ou surpasser un tel niveau.
Karlone
“He a bitch !” - Green on teammate Durant 11/12/18
(Mythe)
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L'ère moderne des All-Star team n a pas été inaugurée par LeBron, mais pour moi par Boston avec la réunion de 3 FP à leur top.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
*saison 1997-1998 pardon.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
J'ai pas encore vu The Last Dance, mais je vous conseille en complément ce journal complètement hallucinant de Phil Jackson en 4 parties qui a été publié sur ESPN pendant la saison 1998-1999 : https://www.espn.com/nba/story/_/page/Mag15lastrunningofthebullspart1/chicago-bulls-coach-phil-jackson-recounts-historic-1998-season-part-1-espn-magazine-archive

Il explique notamment comment il gérait le cas Dennis Rodman (en des termes très forts, il le qualifie d'"handicapé mental" alors que c'est publier sur internet et qu'il est en train de le coacher !), on apprend qu'il lorgnait déjà sur les Lakers en 1998, son dégout pour Krause, la lattitude qu'il laissait à Jordan pour "coacher" et mener l'équipe... sans filtre.

ça me donne très envie de chopper ses autres bouquins, je sais qu'il en a écrit une brouette, quelqu'un en a un en particulier à recommander ?
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Les sujets connus sur les côtés "sombres" de Jordan sont abordés. On n'apprend rien de nouveau mais Jordan répond avec beaucoup de sincérité... Et donc parfois avec arrogance.
Et j'ai finalement trouvé plus intéressant de l'entendre aborder ces sujets que de lire les avis de tout le monde, depuis maintenant près de 30 ans.
Sinon, on découvre aussi un Jordan qui a l'air d'être un type loyal, même si on devine qu'il faut être à 200% avec lui.

Et oui il y avait énormément de Jordan mais pas que...
Les commentaires de Pippen, Jackson ou Steve Kerr étaient très intéressants. Et on les découvre suffisamment intelligents pour avoir su faire la part des choses avec des bestiaux comme Jordan ou Rodman.
D'ailleurs, Rodman était vraiment un allumé. Ses écarts de comportement en pleine saison sont surréalistes. Et pourtant ça a marché, cette équipe a réussi à aller au bout à chaque fois.
Un sacré parcours, vraiment, et ce documentaire a au moins le mérite d'en rappeler la beauté et la difficulté.
J'adorerai voir la même chose pour toutes les autres grandes dynasties.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Ouais, vous connaissez peut-être cette maxime tirée d'un célèbre film de John Ford : En Amérique, lorsque la légende prime sur la réalité, on imprime la légende.
Je n'ai pas vu The last Dance, mais je ne m'attendais à rien d'autre qu'à une hagiographie. On parle de l'enfant prodigue de la NBA, vous vous attendiez à quoi ?

Après je trouve un peu dommage que ses adversaires aient un peu brocardé.

JB
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Anonyme a dit : Dans les 2 derniers épisodes, on a vu un Steve Kerr toujours impeccable. Drôle et profondément sincère. Je suis content qu'un mec comme lui rencontre autant de succès dans sa carrière de joueur ET d'entraîneur.



Et comme ça on oublie son bilan comme dirigeant smiley.gif
Sinon oui, the Last Dance était annoncé comme une sorte de brulot qui allait faire ouvrir les yeux sur le véritable Jordan, c'est en fait une pub Wheaties de 9 heures. On en apprend plus sur Jordan en lisant le bouquin qui raconte son come back à Washington, When nothing else matters.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Anonyme a dit : Wade, Bosh, Love, Davis font tous partie des meilleurs adversaires contre qui James a joués.
Ils n'étaient pas rivaux mais adversaires, oui.
Et il a joué avec eux.
L'épisode des 3 amigos, qu'est-ce que tu veux dire contre ça?
Ce sont 3 potes, parmi les tous meilleurs joueurs de la ligue, qui s'entendent pour jouer ensemble...



Tu peux dire ça de Wade et Davis, mais Bosh ou Love, non, ça ne marche pas. La théorie tombe à l'eau, même si je reconnais que la formule donnait à sourire.

Ensuite, on a déjà vu un Aguirre, FP de Dallas, être récupéré par les Pistons parce que c'était un super pote de Thomas. Les règles de l'époque (durée des contrats, avec un Magic qui signe pour 25 ans aux Lakers) et le levier dont disposaient les joueurs (balance des pouvoirs) ont considérablement évolué, en faveur des stars. Par exemple, je suis à peu près sûr que dans une NBA de 2020, les deux potes Olajuwon et Drexler feraient en sorte de s'associer très vite - quand tu vois que Drexler a réussi à obtenir son transfert comme par hasard à Houston, dans un deal complètement déséquilibré, il y a peu de doute sur ce qu'il aurait fait dans une NBA à contrats courts de 3 ou 4 ans lui permettant de changer facilement d'adresse.
Et puis le plus dégueu de tous ces moves, ça reste quand même celui de KL (et par extension PG). Là, on est dans la suprême putasserie smiley.gif
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
J'ai vu la fin de the last dance. Ça fait quand même une sacrée pub pour Jordan. Ils ont à peine abordé ses côtés antipathiques et personne parmi les intervenants ne le remet jamais en question.
En revanche, le reportage est très bien pour apprécier l'accomplissement réalisé par cette équipe et ce qu'a représenté cette dynastie.
Les plus jeunes apprécieront mieux l'impact qu'a pu avoir Michael Jordan et pourquoi ce joueur, au-delà de ses nombreux titres et récompenses, est devenu un tel mythe.
Dans les 2 derniers épisodes, on a vu un Steve Kerr toujours impeccable. Drôle et profondément sincère. Je suis content qu'un mec comme lui rencontre autant de succès dans sa carrière de joueur ET d'entraîneur.

Sinon, au fil des épisodes, je me suis rendu compte que toutes les équipes qui ont perdu contre Chicago en finale auraient été de beaux champions. Portland, Phoenix, Seattle, Utah ou pourquoi pas Indiana en 98, c'était quand même même du lourd.
Mais Chicago était vraiment la meilleure équipe sur cette longue période.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Wade, Bosh, Love, Davis font tous partie des meilleurs adversaires contre qui James a joués.
Ils n'étaient pas rivaux mais adversaires, oui.
Et il a joué avec eux.
L'épisode des 3 amigos, qu'est-ce que tu veux dire contre ça?
Ce sont 3 potes, parmi les tous meilleurs joueurs de la ligue, qui s'entendent pour jouer ensemble...
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
dreemtim a dit : Déjà une différence de taille, plutôt que de tenter de les battre, Lebron s'associent avec ses meilleurs adversaires. Assurément un plus pour une franchise smiley.gif



Tu es sérieux ? LeBron n'a jamais été adversaire de Wade, Bosh, Irving ou Love. Jordan et Rodman, après contre... smiley.gif
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
dreemtim a dit :
Anonyme a dit : Et j'oubliais que quand James revient à Cleveland, Kevin Love débarque.
Le gars a construit toutes les équipes où il a été contender.
Je sais que c'est pas lui qui a lancé cette mode mais ça permet de relativiser toutes ces années consécutives en finale. Ça et la faiblesse de la conférence EST.


C'est pas lui qui l'a lancé ? heu les 3 amigos ça a quand même été "team building 2.0"
On avait jamais vu ça. Le Heat avait un joueur sous contrat au 1er juillet 2010, avant que tout le monde resigne après avoir fait des fantasy draft sur NBA 2K...

Au final il a gagné son titre à Cleveland, dans une finale magnifique, ça fait beaucoup oublier le "Not 1, Not 2, Not 3...". Mais bon, il a inauguré l'ère moderne des all-stars teams fabriquées l'été d'avant avec les potos qui se retrouvent en vacances

Et c'était le pire jusqu'à ce que KD aille tapiner du côté de la Bay


J'avoue que les 3 amigos c'était moche.
Mais sur le parquet c'était tellement fun.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
*pour rester en vie
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Je suis d'accord, hors G7 (2 en 6 ans), Jordan n'a jamais joué pour rester pendant la dynastie Bulls, à l'exception du G6 de 95 contre Orlando. Et forcément, c'est un peu un cas à part.

Mais je parlais de ça parce que James n'a pas fait que gagner des titres dans des équipes construites en 1 été.
Il a aussi et surtout fait 2016 et il le doit à personne. En tous cas, pas à une superstar venue en renfort.
dreemtim
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Anonyme a dit : Par contre James a gagné le titre en 2016 contre GS après avoir été mené 1-3. C'est probablement le plus gros exploit des Finals de l'ère moderne (voire de l'Histoire de la NBA tout court).
Vu son niveau de jeu sur les derniers matches de la série, il a assurément réalisé cette annee-là sa masterclass et un exploit que même Jordan n'a jamais accompli.
C'était surpuissant comme accomplissement.


C'est certain que dans ce qui fait que LBJ peut aujourd'hui raisonnablement prétendre être n°2 all-time, cette finale 2016 pèse vraiment très très lourd.

Ne pas oublier que MJ ne l'a jamais fait aussi parce qu'il était favori à chaque match, même sans le HCA. A partir de 91 (et mis à part les PO 95 bien sûr), les Bulls ne joue aucun match couperet du type 1-3 (si ce n'est 2 games 7)

Au final ça peut jouer contre MJ qui n'a jamais eu à se sortir de situations impossibles, mais il ne s'est jamais retrouvé là-dedans aussi parce que ça dominait sévère.
dreemtim
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Anonyme a dit : Et j'oubliais que quand James revient à Cleveland, Kevin Love débarque.
Le gars a construit toutes les équipes où il a été contender.
Je sais que c'est pas lui qui a lancé cette mode mais ça permet de relativiser toutes ces années consécutives en finale. Ça et la faiblesse de la conférence EST.


C'est pas lui qui l'a lancé ? heu les 3 amigos ça a quand même été "team building 2.0"
On avait jamais vu ça. Le Heat avait un joueur sous contrat au 1er juillet 2010, avant que tout le monde resigne après avoir fait des fantasy draft sur NBA 2K...

Au final il a gagné son titre à Cleveland, dans une finale magnifique, ça fait beaucoup oublier le "Not 1, Not 2, Not 3...". Mais bon, il a inauguré l'ère moderne des all-stars teams fabriquées l'été d'avant avec les potos qui se retrouvent en vacances

Et c'était le pire jusqu'à ce que KD aille tapiner du côté de la Bay
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Par contre James a gagné le titre en 2016 contre GS après avoir été mené 1-3. C'est probablement le plus gros exploit des Finals de l'ère moderne (voire de l'Histoire de la NBA tout court).
Vu son niveau de jeu sur les derniers matches de la série, il a assurément réalisé cette annee-là sa masterclass et un exploit que même Jordan n'a jamais accompli.
C'était surpuissant comme accomplissement.
dreemtim
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Anonyme a dit :
dreemtim a dit : Déjà une différence de taille, plutôt que de tenter de les battre, Lebron s'associent avec ses meilleurs adversaires. Assurément un plus pour une franchise smiley.gif


J'avoue.
Le premier triplé, Jordan l'a gagné avec ses coéquipiers.
Le deuxième, il le gagné avec l'équipe en place (+ Rodman).

James s'est construit son équipe à Miami, Cleveland et LA Lakers.
Après, soit c'était ça soit il gagnait peut-être jamais rien.
Mais bon, c'est un poil agaçant, le mec fait un an à LA, l'année d'après il est rejoint par Anthony Davis et plein de RP de qualité. Elle est belle la vie.



Mon commentaire avait un côté crotte de nez sur LBJ, que je mets en numéro 2 all-time (pas en 12ème...), mais très sérieusement, c'est une des raisons pour lesquelles il ne pourra jamais être numéro 1. Ce sera pas lui qui passera devant

Après, ça n'empêche pas qu'on puisse hésiter pour démarrer une franchise, LBJ étant plus polyvalent et pouvant sans doute mieux s'adapter à différentes configuration que MJ. Mais classement all-time, la hiérarchie ne doit pas bouger.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Et j'oubliais que quand James revient à Cleveland, Kevin Love débarque.
Le gars a construit toutes les équipes où il a été contender.
Je sais que c'est pas lui qui a lancé cette mode mais ça permet de relativiser toutes ces années consécutives en finale. Ça et la faiblesse de la conférence EST.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
Avant de revenir à 38 ans, après 3 ans sans jouer, Jordan a joué 14 saisons en NBA, dont 2 pratiquement blanches (blessé en 86, il joue que 18 matches, retour de sa retraite en 95, il joue que 17 matches).
En résumé, ce qu'il a réalisé, il l'a fait en 12 saisons pleines.

James en est déjà à 16 saisons pleines (je compte pas 2020).
James a gagné 3 titres, MJ en a gagné le double.

Si James est un phénomène de longévité, Jordan a été un rouleau compresseur qui a littéralement détruit la plus grande ligue du monde. Toute la seconde moitié de sa carrière à Chicago, il a enchaîné les bagues. Et il est parti en étant toujours le meilleur joueur de la ligue dans l'équipe championne en titre.
Il est toujours resté à Chicago, a franchi les étapes les unes après les autres, sans ajouter de superstar, jusqu'à réaliser un triplé.

Pour la question du GOAT, Jordan haut la main pour moi.
Pour le meilleur joueur, je n'en sais rien, pas la même époque, pas les mêmes postes, pas la même manière de dominer, pas du tout les mêmes contextes. C'est difficilement comparable.
Auteur anonymeRépondre – Auteur Anonyme
dreemtim a dit : Déjà une différence de taille, plutôt que de tenter de les battre, Lebron s'associent avec ses meilleurs adversaires. Assurément un plus pour une franchise smiley.gif


J'avoue.
Le premier triplé, Jordan l'a gagné avec ses coéquipiers.
Le deuxième, il le gagné avec l'équipe en place (+ Rodman).

James s'est construit son équipe à Miami, Cleveland et LA Lakers.
Après, soit c'était ça soit il gagnait peut-être jamais rien.
Mais bon, c'est un poil agaçant, le mec fait un an à LA, l'année d'après il est rejoint par Anthony Davis et plein de RP de qualité. Elle est belle la vie.

dreemtim
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Déjà une différence de taille, plutôt que de tenter de les battre, Lebron s'associent avec ses meilleurs adversaires. Assurément un plus pour une franchise smiley.gif
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