«L'ironie est que LeBron n'est pas Michael. Actuellement, LeBron c'est Scottie», a déclaré Steve Kerr, ancien meneur-shooteur des Chicago Bulls, aujourd'hui consultant pour ESPN.
«Il lui ressemble dans le fait qu'en défense, c'est tout simplement un monstre, qui peut s'occuper de tout le monde, et dans le fait que c'est plus un ailier organisateur qu'un arrière scoreur, analyse-t-il. Scottie adorait passer la balle. C'est ce que préfère faire LeBron. Phil Jackson appelait Scottie "un shooteur occasionnel". Parfois, ça rentrait, parfois non. C'est comme ça avec LeBron. Il a beaucoup de talent, c'est un grand joueur, mais vous pouvez voir ses limites en tant que basketteur. Il n'a pas vraiment un jeu offensif sur lequel s'appuyer : pas de jeu dos au panier, pas de shoot à mi-distance. Donc quand le jeu se durçit, ça devient difficile pour lui de trouver des paniers faciles et rester dans le match. C'est ce que Michael faisait même dans son sommeil et c'est pour cela que la comparaison est faussée.»
-- beaman a dit : -- PEPS a dit : -- RomUS a dit : -- Larry a dit : Et selon PEPS il va nous apporter toute son expérience en EdF pour les matchs couperet! -- Je le crois aussi, ca le met sur une bonne dynamique !!! -- Nan Larry pretend qu Ajinca et Petro apporterait un chouya moins... Larry c est mec qui te dira meme si t as pas une tune en poche que si on te file 2euros t as toujours pas un rond Larry inventeur d une nouvelle theorie mathematique 0+2=0 -- En même temps il vit en Suisse, avec 2 euros t'as rien --
-- Larry a dit : En fait, j'aime bien son énergie, un bon sens du rebond, mais face à de grands intérieurs européens, match couperet ou pas, j'ai peur qu'il soit un peu juste comme pouvait l'être Petro par exemple. après si pour toi, apporter quelque chose dans les matchs couperet ça peut être juste des encouragements, oui je suis d'accord. --
Ecoute c est simple. deja dit auparavant on lui demande d apporter sur des courtes sequences a Dallas comme en EdF. Certes il a fait des fautes super rapidement sur un match mais a mon sens il a quand meme montre une certaine progression.
Il est bien plus energique qu un Petro et ce qu il ne peut apporter en attaque il l apportera en defense.
-- Enfin bref, content pour lui. Surtout quand il se faisait complètement bashé par JVG et qui fut étonamment muet quand IM prend des rebond offensifs importants ou avec son shoot au buzzer. --
C est parce que c est un grand joueur. Les grands joueurs repondent presents dans les moments chauds. hein LeBron?
-- PEPS a dit : -- RomUS a dit : -- Larry a dit : Et selon PEPS il va nous apporter toute son expérience en EdF pour les matchs couperet! -- Je le crois aussi, ca le met sur une bonne dynamique !!! -- Nan Larry pretend qu Ajinca et Petro apporterait un chouya moins... Larry c est mec qui te dira meme si t as pas une tune en poche que si on te file 2euros t as toujours pas un rond Larry inventeur d une nouvelle theorie mathematique 0+2=0 --
En même temps il vit en Suisse, avec 2 euros t'as rien
Ou comment reprocher aux autres de faire ce dont tu es incapable
Poser la question comme tu l'as fait prouve que tu (et les autres) n'a pas compris la problématique.
Ils auraient pu titrer "Ian Mahinmi champion NBA", oui. Mais pourquoi lui et pas Beaubois ? Et surtout, pourquoi ça en Une alors que "personne" (parmi les lecteurs du "Parisien") ne le connaît et que tout le monde, a priori, s'en branle ?
La réponse est dans le titre. Il suffisait de réfléchir. Titrer Mahinmi "star NBA", c'est raconter l'histoire du petit cendrillon. C'est comme ça que tu intéresse le grand public : en lui expliquant qu'un Français a percé dans le monde merveilleux de la NBA. C'était ça, la problématique. Pas de savoir si le mec était une star ou pas, important ou pas dans la série, combien de temps il a joué et combien de points il a marqué…
-- Bullet in the head a dit : -- Larry a dit : Non-spécialistes oui, mais de là à utiliser star NBA Y a pas d'expression plus mesurée mais malgré tout efficace auprès du grand public? -- Je t'écoute, propose… --
-- Larry a dit : Non-spécialistes oui, mais de là à utiliser star NBA Y a pas d'expression plus mesurée mais malgré tout efficace auprès du grand public? --
-- Bullet in the head a dit : -- Ed a dit : Mais qu'est ce qu'il faut pas lire sérieux -- -- dreemtim a dit : Ah ouais faut oser le Parisien -- -- Spurs9 a dit : 9 pts 5 rebonds sur l'ensemble de la finale.... - "Le Parisien" est un quotidien généraliste qui s'adresse à un grand public. Pour pouvoir mettre Ian Mahinmi à la Une, il fallait nécessairement gonfler le truc et parler par exemple de "star". Dans un cas pareil, essayez deux secondes de quitter votre costume de fan de basket pointu et de raisonner vis-à-vis d'un public de néophytes… Ce n'est pourtant pas dur à comprendre. Quand on aborde un sujet pointu avec des non-spécialistes, on le fait de manière simplifiée et accrocheuse. --
Non-spécialistes oui, mais de là à utiliser star NBA Y a pas d'expression plus mesurée mais malgré tout efficace auprès du grand public?
-- PEPS a dit : -- RomUS a dit : -- Larry a dit : Et selon PEPS il va nous apporter toute son expérience en EdF pour les matchs couperet! -- Je le crois aussi, ca le met sur une bonne dynamique !!! -- Nan Larry pretend qu Ajinca et Petro apporterait un chouya moins... Larry c est mec qui te dira meme si t as pas une tune en poche que si on te file 2euros t as toujours pas un rond Larry inventeur d une nouvelle theorie mathematique 0+2=0 --
Y a apporter et apporter.
Je ne vois pas franchement comment Mahinmi peut apporter grand chose dans des matchs tendus. A part des fautes quoi.
En fait, j'aime bien son énergie, un bon sens du rebond, mais face à de grands intérieurs européens, match couperet ou pas, j'ai peur qu'il soit un peu juste comme pouvait l'être Petro par exemple.
après si pour toi, apporter quelque chose dans les matchs couperet ça peut être juste des encouragements, oui je suis d'accord.
Enfin bref, content pour lui. Surtout quand il se faisait complètement bashé par JVG et qui fut étonamment muet quand IM prend des rebond offensifs importants ou avec son shoot au buzzer.
Avant la finale, Scottie Pippen avait fait jaser en hissant LeBron James au niveau de Michael Jordan. Depuis Miami a perdu et LeBron s'est raté dans les grandes largeurs. «L'ironie est que LeBron n'est pas Michael. Actuellement, LeBron c'est Scottie», a déclaré Steve Kerr, ancien meneur-shooteur des Chicago Bulls, aujourd'hui consultant pour ESPN.
«Il lui ressemble dans le fait qu'en défense, c'est tout simplement un montre, qui peut s'occuper de tout le monde, et dans le fait que c'est plus un ailier organisateur qu'un arrière scoreur, analyse-t-il. Scottie adorait passer la balle. C'est ce que préfère faire LeBron. Phil Jackson appelait Scottie "un shooteur occasionnel". Parfois, ça rentrait, parfois non. C'est comme ça avec LeBron. Il a beaucoup de talent, c'est un grand joueur, mais vous pouvez voir ses limites en tant que basketteur. Il n'a pas vraiment un jeu offensif sur lequel s'appuyer : pas de jeu dos au panier, pas de shoot à mi-distance. Donc quand le jeu se durçit, ça devient difficile pour lui de trouver des paniers faciles et rester dans le match. C'est ce que Michael faisait même dans son sommeil et c'est pour cela que la comparaison est faussée.» (l'équipe.fr)
-- RomUS a dit : -- Larry a dit : Et selon PEPS il va nous apporter toute son expérience en EdF pour les matchs couperet! -- Je le crois aussi, ca le met sur une bonne dynamique !!! --
Nan Larry pretend qu Ajinca et Petro apporterait un chouya moins...
Larry c est mec qui te dira meme si t as pas une tune en poche que si on te file 2euros t as toujours pas un rond
Larry inventeur d une nouvelle theorie mathematique 0+2=0
-- Ed a dit : Mais qu'est ce qu'il faut pas lire sérieux --
-- dreemtim a dit : Ah ouais faut oser le Parisien --
-- Spurs9 a dit : 9 pts 5 rebonds sur l'ensemble de la finale.... -
"Le Parisien" est un quotidien généraliste qui s'adresse à un grand public. Pour pouvoir mettre Ian Mahinmi à la Une, il fallait nécessairement gonfler le truc et parler par exemple de "star". Dans un cas pareil, essayez deux secondes de quitter votre costume de fan de basket pointu et de raisonner vis-à-vis d'un public de néophytes… Ce n'est pourtant pas dur à comprendre. Quand on aborde un sujet pointu avec des non-spécialistes, on le fait de manière simplifiée et accrocheuse.
Rodrigue Beaubois doit avoir les boules d'avoir eté blessé toute la saison, il a un titre mais trop peu joué pour etre satisfait !
Que va t'il faire la saison prochaine ?
Créés lors de la saison 1980-81, les Dallas Mavericks ont remporté le premier titre de leur histoire, dimanche 12 juin, en battant le Miami Heat 4 victoires à 2. Il y a cinq ans, les Mavs avaient déjà participé aux finales NBA mais s’étaient alors inclinés face à la même franchise floridienne.
Ce titre vient récompenser une présence constante au plus haut niveau pour le club de Mark Cuban, le propriétaire. Cela fait en effet onze saisons consécutives que Dallas remporte plus de 50 matches en saison régulière. Pour les amoureux de statistiques et autres records, voici quelques chiffres.
Première bague
Tous les joueurs des Mavericks ont remporté leur premier titre de champion NBA. Il y avait pourtant beaucoup de joueurs expérimentés, mais aucun n’avait jusqu’ici gagné le titre. Jason Kidd était allé jusqu’aux NBA Finals en 2002 et 2003 avec les New Jersey Nets, sans les gagner. Et alors qu’il avait débuté sa carrière en 1994-95 chez les Mavericks, c’est avec cette franchise qu’il remporte son premier titre 17 ans après. Dirk Nowitzki a lui joué pendant 13 ans à Dallas. Autre vétéran de l’équipe, Peja Stojakovic, l’ancienne star des Sacramento Kings du début des années 2000, gagne lui aussi sa première bague après 13 saisons passées dans la ligue. Jason Terry et Shawn Marion, quant à eux, ont attendu 12 années, tandis que Brian Cardinal a déjà joué 11 ans en NBA. Le titre des Mavs met fin à une des plus longues attentes dans l’histoire, puisque les 17 années dans la ligue passées par Jason Kidd avant de gagner sa première bague n’ont été battues que par les 19 saisons jouées par Kevin Willis qui avait fini par devenir champion avec les San Antonio Spurs en 2003. Plus récemment, Gary Payton avait remporté le titre en 2006 avec Miami lors de sa 16e saison.
Most Valuable Player
Dirk Nowitzki a été élu MVP des finales NBA après avoir tourné à 26,0 points et 9,7 rebonds en six matches. Il n’y a pas vraiment eu de débat puisque l’Allemand a recueilli neuf votes sur neuf. En plus de ses actions décisives, Nowitzki a notamment réussi un 45 sur 46 aux lancers-francs (97,8 %), faisant aussi bien que Reggie Miller lors des finales en 2000 avec les Indiana Pacers, mais laissant toutefois le record à James Posey, auteur d’un 12/12 (100 %) en 2008 avec les Boston Celtics face aux Los Angeles Lakers. Au total, le leader des Mavericks a marqué six fois plus de 30 points durant les playoffs 2011, dont une fois lors du match 3 (34 pts) des finales NBA.
From downtown
Les Dallas Mavericks ont cumulé 51 tirs à trois-points réussis durant les finales NBA, dont 24 lors des deux derniers matches. Les Mavs sont passés tout près du record pour une finale en six manches puiqu’il est détenu par les Boston Celtics qui avaient planté 52 tirs longue distance en 2008 face aux Los Angeles Lakers. En revanche, les joueurs de Dallas n’ont commis que 118 fautes personnelles, le plus petit total pour des finales NBA en six matches. Le précédent record datait de 1981, lorsque les Houston Rockets avaient commis 121 fautes face aux Boston Celtics.
Une histoire de coach
Rick Carlisle a remporté son premier titre en tant qu’entraîneur, mais il l’avait déjà gagné en tant que joueur. C’était avec les Boston Celtics en 1986. Après avoir atteint à plusieurs reprises la finale de la conférence Est avec les Detroit Pistons et les Indiana Pacers, Carlisle est allé au bout avec les Mavs lors de sa troisième saison à la tête de l’équipe. C’est le neuvième coach de l’histoire de la franchise après Dick Motta, John MacLeod, Richie Adubato, Gar Heard, Quinn Buckner, Jim Cleammons, Don Nelson et Avery Johnson, ce dernier ayant emmené Dallas en finale en 2006.
Sinon dans le dernier QT j'étais presque pour un retour de Miami afin d'avoir un Game 7, c'est toujours sympa un match couperet. Puis ESPN a remontré les images de The Decision et surtout, et ça avait été presque eclipsé au profit de The Decision, les images de la célébration des trois amigos qui font leur kéké (photos de bith).
Et là j'ai retrouvé mes esprits, je ne souhaitais qu'une chose, que Dallas explose Miami.
Bon, est-ce que faut pas virer le coach maintenant? Parce que là il nous a un peu fait du Mike Brown, avec une défense bien en place (quoique trop inconstante durant les Finals) et une attaque indigeste.
Ou est-ce que c'est juste le fait d'avoir LBJ qui donne automatiquement un jeu aussi pauvre. Bon je dois admettre que durant ces Finals le jeu du Heat était plus collectif que lors des précédentes séries, et c'est la série qu'ils ont perdu.
-- Bullet in the head a dit : Dans le topic Vie du forum, à chercher la merde --
Non, à répondre à un mec qui m'a une fois de plus attaqué alors que je ne lui parlais même pas. Je croyais que tu serais un peu plus objectif, pour un (soi-disant) journaliste.
-- Hasheem McGee a dit : C'est la stat qui permet à Sam Dal de déterminer le meilleur joueur d'un match C'est un spécialiste, tu aurais du lui demander de t'expliquer depuis le temps --
Ca reste toujours moins débile que de regarder quel joueur score le plus avec un maillot bleu et jaune sur le dos
Il l'avait déjà fait avant avec les cavs, beaucoup trop de temps passer sur le terrain et à porter le ballon.
Il explose les pistons, tout seul, et en finale il n'a plus d'énergie et de lucidité.
Ça recommence cette année.
Il faut un coach à Miami avec de l'autorité qui n'hésite pas à bencher les stars.
Pauvre Lebron, faudra qu'un jour je vois ces fameux quarter contre les C's, sinon je crois que je vais me foutre de lui un long moment !!!
Ouais regarde , ca vaut le détour !
Tout l'inverse de la finale où lebron a disparu des 4e QT.
dans ces series il était bien présent sans être énorme pdt 3 QT puis arrive le 4e QT, et là lebron s'enerve et se met à enfiler paniers sur paniers.
D'ailleurs il me semble que c'est contre les bulls qu'il a été le plus énormissime, à coup de 12 pts en 3 min dans le MT etc... bref, du très grand lebron.
Puis en finale, plus rien, fini les supers 4e QT, ca restera un mystère pour moi, comment a t'il pu perdre le rythme comme ça !??
Surtout que les defs des bulls et des Cs me semblaient plus solides que la def des mavs, c'est pas un pb de defense mais un pb mental...
Tiens d'ailleurs il est où lui (nan pas là) avec son soit disant meilleur joueur de la galaxie de l'univers inter galactique qui a surtout encore prouvé toute sa lose attitude intersidérale
-- Bullet in the head a dit : Ah, OK, c'est le cumul des points, je croyais que c'était une moyenne des écarts durant le temps où le joueur était sur le terrain ou sur le banc --
C'est la stat qui permet à Sam Dal de déterminer le meilleur joueur d'un match
C'est un spécialiste, tu aurais du lui demander de t'expliquer depuis le temps
ben le différentiel de points entre équipes est pris en compte quand le joueur est SUR et HORS du terrain, qu'est ce que tu piges pas ?
ex :
DAL mène de 10 pts.
Dirk rentre.
il ressort 5 mins plus tard. DAL mène de 14 pts.
donc Dirk bénéficie d'un +4....jusqu'à sa prochaine rentrée 5 mins plus tard. DAL mène seulement de 8 pts.
Il rejoue 6 mins et DAL mène de 10 pts.
-- AiR1 a dit : Ouch DAL was +55 w/Dirk in the game during series, -41 w/out him. MIA was -36 w/LeBron in the game, +22 w/out him --
La violence de cette stat
Même si bien sûr il y a tout un tas de paramètres qui peuvent venir atténuer un peu la chose, un tel écart est quand même malgré tout révélateur et vraiment impressionnant !