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Ils nous ont quittés

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MC Jean Gab1
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L'écrivain Régine Deforges est morte à 78 ans
Par 20minutes.fr | 20minutes.fr – il y a 6 minutes

DECES - Elle était très connue pour ses opinions féministes...

L'écrivaine et éditrice Régine Deforges, auteur de La bicyclette bleue, est décédée ce jeudi à l'âge de 78 ans à l'hôpital parisien Cochin des suites d'une crise cardiaque, a annoncé son fils, Franck Spengler.
Régine Deforges fut une éditrice sulfureuse, souvent en butte à la justice, avant de connaître le succès public avec La bicylette bleue, adaptée au cinéma avec Laetitia Casta.
Cette saga de dix romans parue chez Fayard, commencée en 1983 par 101, avenue Henri Martin et achevée en 2007 par Et quand vient la fin du voyage, s'est vendue à plus de dix millions d'exemplaires. Elle a valu à Régine Deforges des démêlés judiciaires avec les héritiers de Margaret Mitchell, auteur d'Autant en emporte le vent, qui ne parvinrent cependant pas à convaincre les juges que la Française avait plagié l'Américaine.

Interdictions et poursuites
Née le 15 août 1935 à Montmorillon dans la Vienne, Régine Deforges a écrit une quarantaine de livres, dont plusieurs textes érotiques, plaidant pour que les femmes vivent librement leur sexualité.
Autodidacte, elle a longtemps été libraire avant de créer, aux côtés de Jean-Jacques Pauvert, une maison d'édition, « L'Or du temps », à la fin des années 1960. De nombreux ouvrages édités (comme Le Con d'Irène de Louis Aragon) ont fait l'objet d'interdictions diverses et de poursuites pour outrage aux bonnes moeurs.
Régine Deforges, qui a longtemps tenu une chronique à L'Humanité, a été présidente de la Société des gens de lettres, membre du jury du prix Femina dont elle a démissionné en 2006, en solidarité avec Madeleine Chapsal qui venait d'être exclue.

Des mémoires en 2013
Elle était l'épouse du dessinateur du Nouvel Observateur Pierre Wiazemski, dit Wiaz, petit-fils de François Mauriac.
On lui doit des titres comme O m'a dit (entretiens avec l'auteur de d'Histoire d'O), Blanche et Lucie (ses deux grand-mères), Le Cahier volé, Les Contes pervers (dont elle tirera un film qu'elle-même réalisera), Révolte des nonnes (adapté au petit écran sous le titre L'Enfant des Loups en 1991), Pour l'amour de Marie Salat, Lola et quelques autres, Journal d'un éditeur, L'Orage ou La Hire, ou la colère de Jeanne. Cette mère de trois enfants avait aussi signé des livres pour enfants et un recueil de recettes de cuisine.
En 2013, elle avait signé ses mémoires, L'enfant du 15 août.
Avec AFP
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Frankie Knuckles, légende de la house music, est décédé à 59 ans
20minutes.fr – il y a 26 minutes

Frankie Knuckles, considéré comme « le parrain de la House Music », est décédé le 31 mars à l'âge de 59 ans. Ce pionnier du clubbing a été retrouvé mort dans sa maison. Il serait décédé des suites de complications lié au diabète selon Billboard.
Né dans le Bronx en 1955, il a commencé sa carrière de DJ en jouant de la soul et de la disco au Continental Baths, à New York, avec une autre légende, Larry Levan. En 1977, il parti s'installer à Chicago, où il devient DJ résident au Warehouse, puis au Power Plant. Dans cette ville, il devient une des figures importantes de la scène locale du clubbing.
Ce DJ prolifique et remixeur de génie a fondé sa propre maison de productions, Def Mix Productions, avec David Morales. Il a travaillé avec les artistes pop et soul comme Michael Jackson, Diana Ross ou Chaka Khan.
En 2004, la mairie de Chicago avait rebaptisé une rue de la ville en son nom.
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Kate O'Mara, héroïne du feuilleton «Dynastie», est décédé
Par 20minutes.fr | 20minutes.fr – il y a 3 heures

Elle jouait la soeur de Joan Collins dans le célèbre feuilleton américain. L'actrice britannique Kate O'Mara, héroïne de la série télévisée «Dynastie», est décédée à l'âge de 74 ans dans une maison de repos du Sussex, au sud de l'Angleterre, des suites d'une «courte maladie», a annoncé son agent Phil Belfield ce dimanche.

La soeur d'Alexis Colby
Née le 10 août 1939 à Leicester (centre du Royaume-Uni), Kate O'Mara a incarné le rôle de Cassandra «Caress» Morell, c'est-à-dire la soeur d'Alexis Colby interprétée par Joan Collins, dans le célèbre feuilleton américain des années 1980. «Une étoile brillante s'est éteinte. Kate manquera énormément à tous ceux qui la connaissaient et ont travaillé avec elle», a déclaré son agent. Elle est également apparue dans plusieurs séries de télévision britannique comme «Doctor Who».
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Homeland : James Rebhorn est décédé
24 mars 2014

Récemment vu dans Homeland ou encore FBI Duo très spécial, l’acteur James Rebhorn est décédé à l’âge de 65 ans.

Il était l’un de ces acteurs qu’on a vu 1001 fois à la télévision et au cinéma sans jamais retenir son nom. James Rebhorn est décédé le 21 mars dernier des complications d’un cancer de la peau, diagnostiqué en 1992.
Ces dernières années, James Rebhorn était surtout connu pour jouer le père de Carrie Mathison dans la série Homeland. Il incarnait aussi le superviseur Reese Hughes dans FBI Duo Très Spécial. Il a aussi eu des rôles récurrents dans Enlightened ou encore New York Police Judiciaire. Il était aussi le Procureur Hoyt qui a envoyé Jerry, Elaine, George et Kramer en prison lors du fameux final de Seinfield.
Côté cinéma, l’acteur a une longue carrière avec des rôles plus ou moins marquants notamment dans Independence Day, The Game ou encore Mon Beau-père et moi. Plus récemment, il est apparu dans les films Real Seel et The Perfect Wedding.
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Mort à 75 ans de Marc Blondel, ancien secrétaire général de Force Ouvrière

L’ancien secrétaire général de Force ouvrière Marc Blondel est mort à l’âge de 75 ans, a annoncé lundi son syndicat dans un communiqué.
Force ouvrière a «la douleur d’annoncer la disparition de Marc Blondel, militant syndicaliste et ancien secrétaire général de la CGT-Force ouvrière de 1989 à 2004», a indiqué le syndicat.
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Décès du clown et comédien Michel Francini, second rôle populaire, à l'âge de 92 ans

Le comédien Michel Francini, second rôle populaire à l'affiche d'une centaine de films, présentateur dans les années 60 de "La Piste aux Etoiles" à la télévision, est décédé à la veille de ses 93 ans, dans la nuit de dimanche à lundi à Paris, a annoncé à l'AFP son agent Jean-Pierre Noël.
Longtemps partenaire sur scène du clown Achille Zavatta, Michel Francini né le 14 mars 1921, avait débuté avant-guerre comme artiste de music-hall avec un tour de chant fantaisiste sur les scènes les plus célèbres du moment, de l'ABC à l'Olympia, en passant par L'Alhambra et Bobino.
Auteur de plus de 1.500 sketches et chansons selon la Sacem, le comédien s'est rapidement imposé avec des compositions truculentes de policiers, d'hommes politiques, d'ecclésiastiques, de militaires ou de repris de justice.
Michel Francini a joué dans de nombreuses opérettes et comédies musicales, notamment au Théâtre de la Gaîté Lyrique à Paris dont il a été pensionnaire.
De 1958 à 1966, le producteur de télévision Gilles Margaritis lui confie la présentation chaque semaine de "La Piste aux Etoiles", avant de passer le flambeau à Roger Lanzac pour partir en tournée avec Achille Zavatta.
Le comédien a tourné avec les plus grands réalisateurs dont Jean-Luc Godard, Georges Lautner, Robert Lamoureux, Jean-Marie Poiré, Philippe de Broca, Claude Autant-Lara, Jacques Deray...
Jacques Tati, qui lui avait confié un rôle dans "Playtime" en 1967, voyait en lui "un homme-orchestre". Avec son imposante stature et son visage à la serpe très expressif, Michel Francini a été aussi l'un des acteurs fétiches de Jean-Pierre Mocky qui l'a fait tourner dans la plupart de ses films dont "L'Ibis rouge", "Une Nuit à l'Assemblée Nationale", "Le Glandeur", "Le Bénévole", "Le Piège à cons"... Avec Yves Robert, il a tourné dans "Salut l'artiste!" et "Le retour du grand blond".
En 2003, Michel Francini, alors âgé de 82 ans, a été engagé pour le rôle de Monsieur Tranchant sur la comédie musicale "Les Demoiselles de Rochefort", dans une mise en scène de Redha, au Palais des Congrès.
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Merde alors, Quentin Elias est mort ??
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Le cinéaste Alain Resnais, 91 ans, est décédé samedi soir
Victor Fortunato avec Alain Grasset | Publié le 02.03.2014, 10h50 | Mise à jour : 12h32

Le cinéaste Alain Resnais est décédé samedi soir à Paris «entouré de sa famille», à l'âge de 91 ans, a annoncé dimanche le producteur de ses derniers films, Jean-Louis Livi. Le réalisateur français, également scénariste et monteur, était né le 3 juin 1922 à Vannes (Morbihan).
Considéré par beaucoup comme le maître du cinéma français, Alain Resnais avait réalisé de nombreux chefs-d'oeuvre tels que «Hiroshima mon amour» en 1959 et «L’Année dernière à Marienbad», Lion d'or à Venise en 1961.
Quelques heures après la disparition d'Alain Resnais, Jean-Louis Livi, interrogé par leparisien.fr, témoigne: «Il nous a quittés de façon tout à fait sereine cette nuit mais jusqu'au bout il était préoccupé à la fois par la sortie de son nouveau film «Aimer, boire et chanter» (sortie le 26 mars) dont nous préparions l'avant-première sur les Champs Elysées le 10 mars». Le producteur poursuit: «C'était un homme heureux qui avait toujours un projet en cours, la preuve nous étions en train de travailler sur le scénario de son prochain film, dont j'ai le script sous les yeux, intitulé «Arrivées et départs». Un homme heureux donc qui venait de recevoir deux prix à Berlin dont l'un qui récompense le cinéaste le plus inventif. Vu son âge, c'est quand même extraordinaire.»
Le 15 février, le réalisateur français avait effectivement été honoré par le jury du 64e Festival du film de Berlin (Berlinale) pour son film «Aimer, boire et chanter», en salles le 26 mars. Il avait reçu le prix Alfred Bauer, en mémoire du fondateur du festival, «pour un film qui ouvre de nouvelles perspectives».
«Quelle plus belle récompense pouvions nous espérer», avait déclaré sur scène le producteur du film Jean-Louis Livi qui avait qualifié Alain Resnais de «champion de l'innovation». «Aimer boire et chanter» est un savoureux mélange de théâtre, cinéma et bande dessinée comme le réalisateur français, Ours d'argent à Berlin en 1993 pour «Smoking/No smoking», en a le secret.
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Quentin Elias est mort

Révélé dans le boysband Alliage, le chanteur était récemment apparu sur NRJ12 dans plusieurs télé-réalités.
L'ancien chanteur du boysband Alliage est mort à l'âge de 39, selon les informations de . «Il a été retrouvé sans vie dans son appartement de New York. Jusqu'ici, les causes de son décès restent encore floues» précise le site internet. Chanteur et mannequin, Quentin Elias avait explosé dans les années 90 en étant l'un des membres du groupe Alliage né en pleine folie des boysband en France. Le tube d'Alliage dans les années 90: «Baila».
Dans les années 2000, il avait fait reparler de lui en apparaissant boybuildé et figurant au casting de films pornographiques gay. Ces derniers mois, Quentin Elias était réapparu sur les écrans français en participant notamment à plusieurs programmes de télé-réalité de NRJ12: L'île des vérités 2 et Giuseppe Ristorante, une histoire de famille .
En mai 2013, Quentin était venu sur le plateau de Jean-Marc Morandini sur NRJ12.
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SM12
SM12
(Légende)
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Quentin Elias, l'ancien leader du boys-band Alliage, qui avait cartonné au milieu des années 90 avec "Baïla", a été retrouvé mort dans son appartement à New-York.
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Mort de Harold Ramis, le réalisateur de «Un jour sans fin»
Par Slate.fr | Slate.fr – il y a 52 minutes

Selon le Chicago Tribune, Harold Ramis, le réalisateur du formidable Un jour sans fin, est décédé, lundi 24 février 2014. Il était l'auteur de onze films, dont les plus connus, en dehors de ce chef d'oeuvre, sont Mes doubles, ma femme et moi, Mafia Blues, avec Billy Crystal en psy du mafieux dépressif DeNiro, ou encore le remake de Sidney Donen Endiablé.
Mais aucun des films qu'il n'avait tourné n'avait égalé le degré de culte de Un jour sans fin (Groundhog Day, 1993), comédie brillante et métaphysique où l'on voyait Bill Murray, météorologue grognon d'une chaîne de télévision locale, revivre en boucle la même journée, celle d'un reportage sur le jour de la marmotte. Avec, heureusement pour lui, Andie McDowell pour compagnie...
Il aura, relève le Chicago Tribune, influencé toute une génération d'auteurs de comédies qui le citaient comme une inspiration, de Judd Apatow à Adam Sandler en passant par Jay Roach ou Peter Farrelly. «Quand j'avais quinze ans, j'ai interviewé Harold pour la station de radio de mon lycée et c'était la personne que je voulais devenir un jour», a déclaré Apatow, cité par le quotidien.
Le cinéaste lui avait d'ailleurs rendu hommage en lui offrant le rôle du père de Seth Rogen dans En cloque, mode d'emploi. Car Ramis avait également une carrière d'acteur qui l'avait notamment vu jouer dans les deux S.O.S. Fantômes, qu'il avait coécrits, et aussi dans Un jour sans fin, où il interprétait un neurologue que consultait Bill Murray. Victime d'une maladie rare des vaisseaux sanguins, il avait 69 ans.
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La plus vieille survivante de l'holocauste est morte à 110 ans
Alice Herz-Sommer avait été déportée dans le camps de Terezin où elle avait été détenue pendant deux ans. Sa passion, la musique, l'avait sauvée.

"Je suis juive, mais Beethoven est ma religion", expliquait récemment Alice Herz-Sommer. "Je pense vivre mes derniers jours mais peu importe parce que j'ai eu une vie tellement riche. Et la vie est magnifique, l'amour est magnifique, la nature et la musique sont magnifiques. Tout ce qu'on vit est un cadeau, un cadeau que l'on doit chérir et passer à ceux que l'on aime", ajoutait-elle. Décédée à Londres dimanche 23 février, à 110 ans, Alice Herz-Sommer a fait la preuve de cet optimisme tout au long de sa vie.

Pianiste accomplie au moment où éclate la Seconde Guerre mondiale, Alice Herz-Sommer et son fils seront sauvés par sa passion lorsque, déportée dans le camps de Terezin (dans l'actuelle République tchèque), elle est chargée de composer la musique d'un film de propagande nazie. Elle organisera par la suite plus de 100 concerts pour les détenus, espérant ainsi atténuer un peu leur souffrance. Malgré ces deux années passées en camps de concentration, Alice Herz-Sommer explique dans une vidéo, "n'avoir jamais haï"."Elle nous aimait, riait avec nous et chérissait la musique avec nous. Elle était une source d'inspiration et notre monde va se trouver considérablement appauvri sans elle à notre côté", a ajouté Ariel Sommer.
En plus d'une certaine philosophie, Alice Hertz-Sommer laisse à la postérité un livre co-écrit avec Caroline Stoessinger, et publié aux éditions Michel Lafon : "Le monde d'Alice, 100 ans de sagesse". Et un documentaire sur sa vie : le court-métrage "The Lady in number 6 : music saved my life", réalisé par Malcolm Clarke, l'héroïne raconte sa vie et l'importance de la musique et du rire pour mener une existence heureuse.

Sur son site internet, Nicholas Reed, producteur de "The Lady in number 6", dit de son film : "Les enfants du monde entier se construisent avec des supers héros. Ce que nous, leurs parents, devons leur rappeler, est que les documentaires racontent des histoires sur des supers héros qui sont vrais. Des supers héros sont basés sur des personnes extraordinaires, des personnes réelles, comme Alice Herz-Sommer".

Le film a été sélectionné pour concourir à l'Oscar du meilleur court-métrage documentaire, qui sera décerné dimanche 2 mars. Un bel hommage pour une grande dame.
Clawdia Prolongeau avec AFP
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L'actrice américaine Shirley Temple est morte
Le Monde.fr | 11.02.2014 à 11h46 • Mis à jour le 11.02.2014 à 13h29

L'actrice et diplomate américaine Shirley Temple s'est éteinte dans sa résidence de Woodside en Californie à l'âge de 85 ans, rapporte mardi 11 février la BBC citant des déclarations de la famille. L'agent de la comédienne a confirmé l'information aux chaînes ABC et CNN.
Shirley Temple, la « petite fée d'Hollywood » avait tenu son premier rôle dès l'âge de 3 ans, et joué dans une quarantaine de films, notamment Boucles d'or (Curly Top, 1935) ou Petite princesse  (The Little princess, 1939), C'est pour toujours (1934), La Mascotte du régiment (1937) ou encore Le Massacre de Fort Apache (1948).
Enchantant l'Amérique des années 1930 avec son visage d'ange et ses cheveux bouclés, elle fut, à 6 ans, la plus jeune actrice à recevoir un Oscar. Après avoir abandonné sa carrière cinématographique vers l'âge de 20 ans, elle a servi comme ambassadeur au Ghana puis en Tchécoslovaquie, ainsi qu'aux Nations unies. Elle avait combattu avec succès un cancer du sein. « Sa vie a été marquée par des grands réussites en tant qu'actrice et diplomate », a déclaré son agent, selon CNN.
En 2006, l'actrice avait reçu un Oscar pour l'ensemble de sa carrière.
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Julia Roberts : Mort de sa demi-soeur Nancy Motes, victime d'une overdose

Terrible drame dans la famille Roberts : la soeur de l'acteur Eric Roberts, et donc demi-soeur de Julia Roberts par la mère de cette dernière, Betty Lou, a été retrouvée morte. Probablement victime d'une overdose, Nancy Motes a été découverte sur le plancher de sa salle de bain à son domicile de Los Angeles, dimanche 9 février 2014. Des médicaments ont été également retrouvés près de son corps, a informé l'assistant chef du médecin légiste. "Elle avait eu quelques problèmes médicaux. Des drogues prescrites ont été trouvées près de son corps", a déclaré Ed Winter. Une enquête va être menée et une autopsie doit avoir lieu ce mardi 11.
La demi-soeur de Julia Roberts et tante d'Emma Roberts avait 37 ans, et venait de se faire poser vingt mois auparavant un bypass gastrique qui lui permettait de perdre le poids qui lui avait tant fait vivre un enfer lorsqu'elle était enfant. Quelques mois avant sa mort, Nancy Motes avait livré ses quatre vérités dans un portrait publié par le New York Daily News, révélant comment Julia Roberts l'avait maltraitée. "Quand j'étais au lycée et qu'elle était adulte, elle me faisait clairement comprendre que j'étais en surpoids", confiait alors Nancy Motes, qui pourtant, admirative de sa grande soeur, décide de devenir également actrice alors que Roberts vient de se distinguer avec Pretty Woman : "Julia ne voulait pas me voir emprunter cette voie. Essentiellement parce que j'étais en surpoids (...) Elle m'a beaucoup critiquée, ce qui était vraiment décourageant". Grâce à une intervention médicale, celle pesait au plus fort de son surpoids jusqu'à 136 kilos ne comptait plus en septembre que 70 kilos.
Aujourd'hui, avec la mort tragique de Nancy Motes, c'est une tout autre ambiance qui règne dans le clan Roberts : "C'est avec une profonde tristesse que toute la famille de Nancy Motes... confirme qu'elle a été retrouvée morte à Los Angeles dimanche des suites de ce qui semble être une overdose. Il n'y a encore aucun rapport officiel du coroner. La famille est à la fois choquée et dévastée", peut-on lire dans un communiqué officiel. Lundi 10, Julia Roberts devait prendre part au déjeuner des nommés aux Oscars, mais, trop chagrinée, elle a refusé de parader sur le tapis rouge aux côtés de Leonardo DiCaprio ou sa partenaire dans Un été à Osage County, Meryl Streep.
Décidément, rien ne va dans l'entourage de Julia Roberts. L'ex-fiancée de l'Amérique ne semble pas porter tout le monde dans son coeur. Après s'être mise à dos sa demi-soeur, la comédienne n'adresse également plus la parole à son ancien beau-père, Michael Motes, homme décrit comme un "monstre" et un mari "violent et alcoolique" au côté de Betty Lou et de ses deux filles, Nancy et Julia. Avec cette dernière qui s'en prenait également à sa demi-soeur sur son physique ingrat, on imagine que l'ambiance ne devait pas être beau fixe.
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Maicon : Mort tragique du footballeur de 25 ans, victime d'un accident

Ce week-end débute par une triste nouvelle pour la planète foot... L'attaquant brésilien Maicon Pereira de Oliveira, qui évolue au Shakhtar Donetsk, a trouvé la mort dans un accident de voiture à seulement 25 ans.

C'est le club ukrainien qui a annoncé la triste nouvelle sur son site internet. "Le FC Shakhtar a la douleur d'annoncer que le 8 février 2014, le footballeur Maicon Pereira de Oliveira a perdu la vie tragiquement. Il est mort dans un accident de la route à Donetsk, peut-on lire sur le site du club qualifié en Europa League cette année et qui est connu pour compter une colonie de prometteurs joueurs brésiliens dans son effectif depuis plusieurs années.
"C'était un footballeur talentueux, ouvert, et amical. Maicon aimait la vie et savait comment la rendre positive et brillante [...] C'est une terrible perte pour chacun de nous", a ajouté le Shakhtar Donetsk, qui a présenté ses condoléances à sa famille et ses amis. A l'heure actuelle, aucun détail n'a été donné sur les circonstances de l'accident, qui se serait déroulé dans la nuit du 7 au 8 février.
Formé au mythique Flamengo, Maicon débarque en Ukraine en 2009, où il signe dans le club de D2 Volyn Lutsk. L'attaquant enchaîne les buts et se fait repérer par le Steaua Bucarest, où il est prêté quelques mois avant d'être transféré au Shakhtar, tremplin pour nombreux de ses compatriotes comme Fernandinho (Manchester City) - "complètement choqué" par la nouvelle - ou encore Wilian (Chelsea), évoluant aujourd'hui dans les plus grosses écuries européennes. Malheureusement, l'attaquant joue peu (6 matches, 1 but) et il est rapidement prêté au Zorya Luhansk puis aux Illichivets Mariupol, où il évoluait actuellement.
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Décès de Richard Bull, alias Nels Oleson de "La petite maison dans la prairie", à l'âge de 89 ans
People

L'acteur Richard Bull est décédé, hier, à l'âge de 89 ans. Il est connu pour avoir incarné Nels Oleson dans la série culte "La Petite Maison dans la prairie".
Avant d'être connu pour son rôle dans la série américaine, le comédien est apparu dans de nombreux films à succès aux côtés de Clark Gable, Steve McQueen ou encore Clint Eastwood.
Richard Bull avait également tenu un rôle récurent dans la série "Voyage au fond des mers", où il campait le docteur du sous-marin Neptune.
L'acteur a dirigé une petite compagnie de théâtre à Los Angeles, aux Etats-Unis.
JMM
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Le cono
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Il aurait consommé de l'héro frelatée, ce cono
LeBu
Because
(Historique)
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Génial dernièrement dans The Master, de PT Anderson.

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Lady M
TP fan :)
(Mythe)
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Philip Seymour Hoffman a été trouvé mort dans son appartement de NY, il avait 46 ans
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Cavanna est mort

L'auteur des "Ritals" et de "Lune de miel" avait 90 ans.

Sale jeudi, sale matin, sale nouvelle. Cavanna est mort hier soir, 29 janvier 2014, à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil.
Cavanna, vous savez, François Cavanna, celui qu'on pouvait de loin prendre pour un rigolo, ou pour un fort en gueule (parce qu'il en avait une, de gueule, avec ses belles moustaches gauloises, et qu'il hésitait rarement à l'ouvrir). Alors qu'il était avant tout un surdoué, doublé d'un increvable bosseur.
Il était né le 22 février 1923 à Nogent-sur-Marne. Il avait fait le STO en Allemagne, où il avait «claqué la dalle» et perdu une oreille. Il avait fondé «Hara-Kiri» puis «Charlie Hebdo». Il était un monument national, en somme.
Pour nous, il était surtout un écrivain, et un vrai: celui des «Ritals» et des «Russkoffs»; celui aussi de «Lune de Miel», ce chef-d'oeuvre où, début 2011, il revenait sur l'ensemble de son parcours, se souvenait de ses baignades de gamin dans la Marne, racontait ses humiliantes convocations de son père au «service des travailleurs étrangers» de la Préfecture de police, et réglait ses comptes avec sa maladie de Parkinson, cette «salope infâme».
Cavanna aurait eu 91 ans le mois prochain. Reste sa gloire.
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Le chef d'orchestre Claudio Abbado est mort
Le Monde.fr | 20.01.2014 à 11h39 • Mis à jour le 20.01.2014 à 11h45 |
Par Renaud Machart

Claudio Abbado était un miracle de la musique, un chef d'orchestre inspiré, profond, cultivé, exceptionnel à l'opéra comme au concert et ouvert aux musiques de son temps. Il était aussi un miraculé de la vie : opéré en juillet 2000 d'un cancer à l'estomac, l'Italien était revenu sur scène, en janvier de l'année suivante, amaigri, vieilli de vingt ans, mais il avait repris ses activités avec une énergie nouvelle et salvatrice. Il déclarait, deux ans plus tard, dans un documentaire de la chaîne Arte : « J'ai appris des choses nouvelles, cette interruption a été une expérience exceptionnelle qui fait que je vois et sens tout de manière différente. » En dépit de nombreuses rémissions, ce cancer aura fini par le vaincre, le 20 janvier, à Bologne, quelques mois après sa dernière apparition publique, le 24 août 2013, au Festival de Lucerne, dans la Symphonie inachevée de Schubert et la Symphonie n°9 de Bruckner. Claudio Abbado avait 80 ans.
Bel homme à l'austère figure, Abbado dirigeait d'un geste sûr et élégant, mais cette grâce n'avait rien de cosmétique. D'ailleurs, la profondeur de la musique imprimait à son visage des expressions d'une austérité douloureuse et son regard prenait parfois des couleurs d'outre-monde et d'apocalypse, notamment dans la musique de Gustav Mahler, ainsi que le montrent les concerts filmés au Festival de Lucerne (disponibles en DVD), où il retrouvait chaque été, à la fin de sa carrière, l'Orchestre en résidence qu'il avait ressuscité en 2003.

LIBERTÉ SOUVERAINE
Le 25 janvier 2001, à la tête de l'Orchestre philharmonique de Berlin, dont il avait pris les commandes en 1990, Abbado dirigeait le Requiem de Verdi en commémoration du centenaire de la mort du compositeur. En coulisses, quelques heures plus tôt, beaucoup de membres de son entourage professionnel ne cachaient pas leur inquiétude et certains émettaient même des pronostics négatifs sur la capacité d'Abbado à diriger le concert, voire à « tenir » jusque là. En dépit de cette ambiance mortifère, il dirigea superbement. Mais ce fut un choc pour le public présent ce soir-là - puis, le surlendemain, pour les spectateurs d'Arte qui diffusait le programme - que de voir le juvénile et séduisant sexagénaire transformé en vieillard au visage émacié.
Alors qu'il gravissait lentement et difficilement la rampe qui mène des coulisses au podium, il était impossible de ne pas penser à Herbert von Karajan, son prédécesseur à ce poste, dont les dernières années avaient montré, dans les mêmes lieux, un homme luttant contre la tyrannie d'un corps débilitant. Mais Abbado se remit et reprit de plus belle ses activités. Et le chef passa à autre chose, qui fut l'exercice d'une liberté souveraine : après avoir quitté en 2002 son poste berlinois, laissant la baguette à Simon Rattle, Claudio Abbado allait se délester des obligations liées à des institutions aussi prenantes que celles dont il avait eu la charge au cours de sa belle carrière (il avait auparavant été directeur musical de la Scala de Milan de 1971 à 1988 ; de l'Orchestre symphonique de Londres de 1979 à 1988 ; de l'Opéra de Vienne de 1986 à 1991).

LA VÉRITÉ ENTRE LES NOTES
Plutôt que d'accepter les invitations des grands orchestres et opéras internationaux, il continua de travailler prioritairement avec des formations non permanentes aux effectifs allégés, comme l'Orchestre de chambre de l'Europe ou le Mahler Chamber Orchestra, avec lesquels il enregistra et réenregistrera avec une vitalité nouvelle des œuvres classiques de son répertoire, comme les symphonies de Haydn, Beethoven (et son opéra Fidelio) ou Schubert (pour Deutsche Grammophon, son principal label discographique).
Cette vitalité n'était pas seulement due à l'« expérience exceptionnelle » procurée par la rémission de sa maladie, mais aussi à une capacité à se remettre en question. « Comme je suis d'une nature curieuse, j'apprends toujours », aimait-il à dire. Bien avant la vogue « baroqueuse », Abbado avait coutume de consulter les manuscrits autographes où des détails non respectés par les éditions courantes livraient d'éclairantes informations. Pour autant, le chef ne faisait pas religion de l'Urtext (« texte original ») et, en musicien pragmatique, n'hésitait pas à rappeler l'importance aussi grande des premières éditions, corrigées par les compositeurs, lesquelles proposaient une couche d'information supplémentaire.
Pour Abbado, les mouvements métronomiques n'étaient pas une injonction, mais une indication. La vérité se trouvait entre les notes et surtout, disait-il au mensuel Diapason en 2003, dans « la relation entre les tempos des différents mouvements telle qu'elle s'exprime à travers les indications métronomiques. » Abbado, en instinctif, aura compris l'enseignement des interprétations philologiques sans en faire un dogme ni une langue apprise par serinage.

RÉVÉLATION « MAGIQUE »
En 2004, il allait plus loin encore en contribuant à la fondation du Mozart Orchestra avec lequel il observera les principes du jeu « à l'ancienne » comme en témoigne son deuxième enregistrement, pour Deutsche Grammophon, du Stabat mater de Pergolèse puis ceux, dégraissés et « volando » (une expression qu'il affectionnait), des concertos pour violon de Mozart avec le « baroqueux » Giuliano Carmignola, toujours pour le label au cartouche jaune.
La profonde musicalité de l'Italien avait convaincu de nombreux concertistes connus de venir jouer dans les rangs de l'Orchestre du Festival de Lucerne, fondé par Arturo Toscanini en 1938, qu'il avait relancé en 2003, constitué pour l'essentiel de chefs de pupitres et solistes des plus grands orchestres internationaux. On y voyait la violoncelliste russe Natalia Gutman, les membres du Quatuor Hagen et la clarinettiste allemande Sabine Meyer. Certains d'entre eux n'avaient jamais joué dans un orchestre et découvraient ainsi les délices du Zuzammenmuzizieren (« Musiquer ensemble »), expression allemande qu'aimait Abbado et emblème de son idéal artistique.
Durablement marqué par la violence humiliante d'Arturo Toscanini quand, encore enfant, il l'avait entendu répéter, Abbado allait détester pour toujours les comportements autoritaires. Il dira aussi souvent combien il avait été transformé, à l'âge de sept ans, par l'audition des Nocturnes de Debussy par un autre chef italien, moins connu, Antonio Guarneri. Après cette révélation de l'orchestre, qu'il qualifia souvent de « magique », le jeune Claudio, né le 23 juin 1933 dans une famille de musiciens (son père était violoniste, sa mère pianiste), sut qu'il deviendrait chef d'orchestre.

CONTRE LES FAUSSES TRADITIONS
Partisan du dialogue, Abbado ne s'en laissait pas pour autant conter. Ainsi, encore peu connu, tiendra-t-il tête aux musiciens de l'Orchestre philharmonique de Berlin ou de Vienne qui s'enferraient dans de fausses traditions et lui reprochaient d'être trop italien pour comprendre vraiment la culture germanique – lieu commun hélas ! encore vivace. Or, l'Europe centrale était la passion même d'Abbado, homme cultivé qui parlait couramment l'Allemand et avait fait ses études à Vienne chez Hans Swarowsky, dans la classe duquel il se liera d'une indéfectible amitié avec le chef d'orchestre indien Zubin Mehta. Bien plus tard, Claudio Abbado claquera la porte de l'Orchestre philharmonique de Vienne parce que, au Festival de Salzbourg, les musiciens n'étaient jamais les mêmes en fosse d'une répétition ou d'une représentation à l'autre.
Abbado était en fait venu à Vienne pour y poursuivre ses études de piano. C'est dans la classe de Bruno Seidhofer qu'il rencontrera et se liera d'amitié avec la jeune Martha Argerich, et c'est d'ailleurs grâce à la pianiste argentine, qui avait obtenu un contrat d'exclusivité avec Deutsche Grammophon après son Premier Prix au Concours Chopin de Varsovie, en 1965, qu'il entrera dans l'écurie prestigieuse de la firme hambourgeoise.
Claudio Abbado avait très jeune enseigné (la musique de chambre notamment) mais il préférait former les jeunes musiciens (il contribua à créer, en 1978, l'Orchestre des jeunes de la Communauté européenne) et soutenir activement de jeunes collègues qu'il considérait comme particulièrement doués. Ainsi devait-il encourager les débuts du chef britannique Daniel Harding (à qui il allait proposer, en 1998, au Festival d'Aix-en-Provence, de partager la direction des représentations de Don Giovanni dans la mise en scène de Peter Brook) ou, plus tard, ceux du vénézuélien Gustavo Dudamel. Quand, à nouveau hospitalisé, il dut annuler ses concerts de la fin du printemps et du début de l'été 2010 (dont ceux qui allaient marquer, en juin, son retour tant attendu à la Scala de Milan), Abbado imposa son remplaçant, Diego Matheuz, un autre jeune chef vénézuélien de 25 ans, encore inconnu.

COMPAGNON DE ROUTE
Ce goût des autres, Abbado le devait à sa famille, qui eut une conduite généreuse et courageuse pendant la seconde guerre mondiale, et à son engagement politique. Compagnon de route des communistes, le chef ne prit jamais sa carte au parti, contrairement à son ami le compositeur Luigi Nono (1924-1990), auquel le liait une intimité qui se passait de mots. « J'ai toujours détesté l'idée d'appartenir à un parti, confiait Abbado à Diapason. Il faut être libre. C'est pour cela qu'en 1968 […] j'ai protesté contre l'entrée des Russes à Prague. C'était terrible mais personne n'en parlait parce que ce n'était pas bon pour les partis de gauche… » Ce qui ne l'empêchera pas de se produire dans des usines avec l'Orchestre de la Scala, ses amis Nono et le pianiste Maurizio Pollini. « Les gens n'avaient jamais entendu la musique de Nono mais ils n'avaient jamais entendu non plus l' « Eroïca » de Beethoven ! » dira-t-il.
Cette folle utopie d'une musique savante partagée par tous n'était-elle qu'une grande illusion ? Abbado fit en tout cas tout pour que la Scala de Milan, sous son mandat de directeur musical, devienne un lieu plus démocratique, accessible aux moins aisés. Peu friand d'entretiens avec la presse, Claudio Abbado n'était pas très disert en matière de discours sur la musique. Il l'expliquait, l'éclairait en la faisant. Pour tout livre de souvenirs, il n'aura laissé qu'un discret témoignage sur son métier en publiant, comme l'avait fait sa propre mère, un livre pour enfants, Je serai chef d'orchestre (L'Ecole des loisirs, « Archimède », 2007).
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Jean Fabre, éditeur des "Barbapapa" est mort à l'âge de 93 ans

Jean Fabre, fondateur des éditions l'Ecole des loisirs, spécialisées dans le livre pour enfant et de jeunesse, et éditeur des premiers albums des célèbres "Barbapapa" dans les années 70, est décédé jeudi à Paris à l'âge de 93 ans, a appris l'AFP auprès de son entourage.
Né le 29 janvier 1920 à Paris, Jean Fabre avait travaillé aux éditions de l'Ecole (manuels scolaires) avant de fonder l'Ecole des loisirs en 1965 avec Jean Delas et Arthur Hubschmidt. Ensemble, ils avaient constitué un fonds de l'édition de jeunesse venant du monde entier leur permettant d'imposer leurs propres créations.
L'Ecole des loisirs a notamment édité des illustrations de la peintre Sonia Delaunay et a connu un grand succès en publiant les tout premiers albums des célèbres "Barbapapa", personnages multicolores en forme de poires, qui fut d'abord une série de livres pour enfants créée en 1970 par un couple franco-américain, Annette Tison et Talus Taylor.
L'Ecole des loisirs, dirigée aujourd'hui par son fils Jean-Louis Fabre, comprend plus de 5.700 titres jeunesse d'auteurs vivants dans ses catalogues, parmi lesquels des auteurs connus comme Claude Ponti ou Tomi Ungerer.
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L'ancien Premier Ministre israélien Ariel Sharon dans le coma depuis 2006 est mort à 85 ans

L'ancien Premier Ministre israélien Ariel Sharon dans le comma depuis 2006 est mort à 85 ans. Ariel Sharon, 85 ans, n’a pas repris conscience depuis une attaque cérébrale le 4 janvier 2006
«Arik» (diminutif d’Ariel) Sharon restera dans l’Histoire comme l’artisan en 1982 de l’invasion du Liban alors qu’il était ministre de la Défense, mais aussi comme le chef de gouvernement israélien qui aura évacué les troupes et les colons de la bande de Gaza en 2005.
Une commission d’enquête officielle avait conclu à sa responsabilité pour n’avoir ni prévu ni empêché les massacres des camps de réfugiés palestiniens de Sabra et Chatila à Beyrouth en septembre 1982, perpétrés par une milice chrétienne alliée d’Israël.
Il avait été contraint à la démission, ce qui ne l’avait pas empêché de devenir Premier ministre en 2001, poste auquel il avait été réélu en 2003.
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Run Run Shaw, l’inventeur du film de kung-fu, s’est éteint à l’âge de 106 ans

CINEMA - Run Run Shaw, milliardaire et producteur de cinéma dont les films ont influencé des réalisateurs américains, tels que Quentin Tarantino, est mort mardi à son domicile à Hong Kong à l'âge de 106 ans…

A la tête des studios Shaw Brothers, qu'il avait fondés avec son frère Runme, Run Run Shaw a exercé une influence majeure sur le cinéma asiatique du XXe siècle. Il est notamment considéré comme l'inventeur du film de genre kung-fu.

Il n’a pas réussi à embaucher Bruce Lee
Mais il avait échoué à embaucher Bruce Lee avant qu'il ne devienne une star, en raison d'un désaccord sur la rémunération de l'acteur. Bruce Lee avait alors rejoint Golden Harvest, une autre maison de production hongkongaise fondée par un ancien employé des frères Shaw, Raymond Chow.

Avec son frère Runme, il avait d'abord créé une maison de production à Shanghai en 1927, avant de venir à Hong Kong. Les studios Shaw Brothers ont produit un millier de films, dont La 36e Chambre de Shaolin (The 36th Chamber of Shaolin) considéré comme un des films de kung-fu les plus influents, et La main de fer (Five fingers of death), premier film de Hong Kong exporté aux Etats-Unis.

Inspirateur de John Woo et de Quentin Tarantino
Le studio a dominé l'industrie cinématographique hong-kongaise des années 60 et 70 et donné naissance à une vague de réalisateurs, dont John Woo, parti ensuite à Hollywood. L'acteur Gordon Liu, qui a joué dans de nombreux films des studios Shaw, incarnait un maître de kung-fu typique du cinéma asiatique dans Kill Bill de Quentin Tarantino. Il avait aussu coproduit le chef d'œuvre de Ridley Scott Blade runner (1982).

Run Run Shaw avait aussi cofondé en 1967 la chaîne de télévision TVB, dont les feuilletons et les émissions de variété étaient immensément populaires auprès de la diaspora chinoise du sud-est asiatique, faisant de Hong Kong une plateforme des programmes télévisés pour l'Asie.

Le producteur, milliardaire selon le magazine américain Forbes, était réputé pour ses œuvres philanthropiques. Il avait été fait chevalier par la reine Elizabeth en 1977 pour son soutien à la Croix-Rouge.

J.M. (avec AFP)
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Eusébio, légende du foot
Eusébio est mort.

Le monde du foot pleure le plus grand joueur portugais de son histoire.
Il était né le 25 janvier 1945 à Lourenço-Marquès, capitale du Mozambique, ancienne colonie du Portugal. Eusébio da Silva Ferreira, dit Eusébio, est mort ce dimanche 5 janvier à la suite d’un arrêt cardio-respiratoire. Il avait remporté la Ligue des Champions en 61 et 62 avec le Benfica Lisbonne qu’il quittera après un long bail de quinze ans, émigrant aux Etats Unis pour rentabiliser son nom et sa carrière au moment où le Soccer tentait une énième percée au pays du basket et du base ball. Nous sommes en 1975. Pelé et Franz Beckenbauer débarquent au Cosmos de New York. Eusébio tente l’aventure à Rhode Island puis à Boston. Thierry Henry et ses amis n’ont rien inventé.
Eusébio s’en va à quelques jours d’un Ballon d’Or qu’il a remporté en 1965 et que Cristiano Ronaldo, son compatriote, gagnera le 13 janvier. Vie et mort aiment les coïncidences et les rapprochements. Passage de témoin. CR7 est le fils d’Eusébio comme Zinedine Zidane a prolongé Michel Platini. L’actualité réunit les deux plus grands joueurs portugais de l’histoire à quelques jours d’intervalle, l’un au soir de son existence, l’autre au sommet de sa gloire.
Cristiano Ronaldo a exprimé sa tristesse sur Twitter et joint une photo où les deux hommes posent ensemble : «Eternel ! » a-t-il commenté. Luis Figo a fait pareil. L’ainé et le cadet regardent l’objectif. Eusébio porte des lunettes ; Figo, le maillot du Portugal sous une veste bleu marine. « The King ! » a écrit celui qui n’a jamais joué au Benfica, né au Sporting, le club rival.

La panthère noire
Eusébio avait 71 ans et son nom ne parle plus aux jeunes générations. La connaissance du sport passe par le souvenir et le souvenir par l’émotion. Pourquoi pleurer si on n’a pas partagé ? Eusébio, connais pas, diront les moins de quarante ans. Comment les blâmer ? Les baby-boomers se souviennent des années 60, des 9 buts marqués en Angleterre durant la coupe du monde 1966, de la troisième place conquise par le Portugal et la légèreté de cette période que chantaient les Beatles : all you need is love. Eusébio restera attaché au Benfica parce que l’arrêt Bosman n’existe pas. L’échappée aux Etats Unis signe le temps de la retraite. Le divorce est rare dans l’Europe d’après-guerre et la fidélité, une valeur à la mode. La mondialisation contaminera les années 90. Le mercato d’hiver n’existe pas en 1966 et les transferts de l’été se comptent sur les doigts d’une main. En revanche, les buts d’Eusébio s’accumulent : 733 signés par celui qu’on appelle la perle noir ou la panthère noire. Deux fois, il est meilleur buteur européen et Soulier d’Or : en 1968 (42 buts) et 1973 (40 buts). Eusébio appartient à la légende du football. Ils ne sont pas si nombreux à perpétuer cette dynastie.
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L'actrice oscarisée Joan Fontaine, connue pour des rôles dans plusieurs classiques d'Alfred Hitchcock, est morte

L'actrice oscarisée Joan Fontaine, figure de l'âge d'or d'Hollywood avec des rôles dans plusieurs classiques d'Alfred Hitchcock, est morte dimanche à l'âge de 96 ans, ont annoncé des médias américains.
Le journal Hollywood Reporter a cité l'assistante de Joan Fontaine, Susan Pfeiffer, selon qui l'actrice est décédée de mort naturelle dans sa maison de Carmel, dans le nord de la Californie (sud-ouest des Etats-Unis).
Née au Japon de parents britanniques, Joan Fontaine arriva en Californie en 1919, où, tout comme sa soeur, la célèbre Olivia de Havilland, elle mènera une carrière cinématographique couronnée de succès.
Joan et Olivia représentent le seul cas de deux soeurs ayant toutes deux remporté l'Oscar de la meilleure actrice.
Pour autant, leur relation était conflictuelle, empreinte d'une amère rivalité, comme l'a raconté Joan Fontaine dans son autobiographie No Bed of Roses. Joan Fontaine débute sa carrière d'actrice à la fin de son adolescence, avec principalement des rôles mineurs au théâtre puis, dans les années 1930, dans des films de série B.
C'est le légendaire réalisateur britannique Alfred Hitchcock qui la propulse sur le devant de la scène dix ans plus tard.
Fasciné par son regard expressif, le maître du suspense lui donne en 1940 le premier rôle dans son premier film américain, Rebecca, une adaptation du roman de Daphne du Maurier.
Son interprétation d'une jeune femme tourmentée par le souvenir étouffant de la première épouse de son mari, dans un sombre manoir au bord de l'océan, lui vaut une nomination pour l'Oscar de la meilleure actrice.
Elle remporte la statuette dorée deux ans plus tard pour son rôle dans Soupçons, où Cary Grant lui donne la réplique, devenant ainsi la première et seule actrice à avoir jamais obtenu cette récompense pour un film d'Alfred Hitchcock.
Si Olivia avait atteint la première la célébrité à Hollywood, Joan la coiffe au poteau dans la course à l'Oscar cette année-là, les deux soeurs se retrouvant en compétition pour la récompense suprême, Olivia étant nominée pour son rôle dans Par la porte d'or, de Mitchell Leisen.
Olivia ne remporta son premier Oscar qu'en 1946, pour son interprétation d'une mère cherchant à retrouver son fils, un pilote de la Première Guerre mondiale dans A chacun son destin, où elle joue à nouveau sous la direction de Leisen.
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Peter O'Toole, l'acteur principal du film Lawrence d'Arabie est mort à l'âge de 81 ans.

Peter O'Toole est mort dans un hôpital londonien à l'âge de 81 ans. Sa carrière d'acteur a véritablement décollé en 1963. L'année où le film Lawrence d'Arabie réalisé par David Lean, est sorti en salles. Dans ce chef d'oeuvre, où il partage l'affiche avec Omar Sharif, il interprète le rôle de T.E. Lawrence. Pour ce rôle, il a reçu le prix du meilleur acteur britannique aux prestigieux BAFTA Awards. La même année, il était en lice pour décrocher l'Oscar du meilleur acteur. Il va devoir attendre 2003 pour être récompensé par un Oscar d'honneur lors de la soixante-quinzième édition des Oscars. Sa prestation dans le film Venus a également été saluée par une tripotée de nominations (Oscars, Golden Globes, Screen Actors Guild Awards).

L'année dernière, il a annoncé qu'il mettait un terme à sa carrière. Il a déclaré que sa carrière l'avait complètement satisfait. Aussi bien sur le plan émotionnel que financier. ''J'ai rencontré des gens biens avec qui j'ai partagé des flops et des succès''. L'acteur anglais laisse derrière lui deux filles, Pat et Kate, et un garçon, Lorcan.
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L’animateur de radio Jean-Louis Foulquier est mort
Par Les Echos | 10/12 | 23:33

Animateur de radio et acteur, Jean-Louis Foulquier a consacré une grande partie de sa vie à la chanson française. Il a fait découvrir de nombreux artistes au grand public.

France Inter a annoncé mardi la mort de son ancien animateur Jean-Louis Foulquier, spécialiste de la chanson française et créateur du festival Les Francofolies de la Rochelle. « Il est parti d’une longue maladie », a annoncé une responsable de la radio, qui consacrera, mercredi, une partie de son antenne à son ex-animateur, notamment entre 20h et 23h. Voix familière aux oreilles des fidèles de France-Inter ( »Studio de nuit », « Saltimbanque », « Y a d’la chanson dans l’air », « Pollen », « Les Copains d’abord »), il s’attachait a démontrer la variété de la chanson française et à donner leur chance aux jeunes, tout en se faisant passeur entre les générations.
Né le 24 juin 1943 à La Rochelle (Charente-Maritime), Jean-Louis Foulquier, fasciné par Léo Ferré à l’adolescence, se rend à Paris pour réaliser sa vocation, devenir chanteur. Il se retrouve par hasard standardiste de nuit à la Maison de la radio à 22 ans, tout en chantant dans les cabarets. Deux ans plus tard, poussé par son patron Roland Dordhain et aussi par lucidité, il choisit de rester à la radio.
Passé les premiers reportages et l’apprentissage du micro, il enchaîne sur France-Inter les émissions consacrées à la chanson. Toutes seront marquées par la convivialité, la complicité. Jean-Louis Foulquier deviendra un interlocuteur privilégié des artistes. En 1985, il réalise un rêve d’enfance en fondant dans sa ville natale les Francofolies, joignant ainsi sa passion de la musique à son goût de la fête. Dans la foulée du succès, des Francofolies se créent à Montréal (1989), en Bulgarie (1991), à Spa en Belgique (1994), en Suisse (1999). Jean-Louis Foulquier, qui avait prêté au théâtre sa silhouette au légendaire Marco Polo pour « L’Histoire merveilleuses de Marco Polo » (1989), a interprété quelques rôles au cinéma ( »les Mots pour le dire », « Le Démon de l’île ») et sur le petit écran.
En septembre 2008, après 43 ans, sa collaboration avec France Inter prend fin. Jean-Louis Foulquier consacrera les dernières années de sa vie au cinéma, au théâtre et à la peinture . Chevalier de la Légion d’honneur, il avait publié son autobiographie « Au large de la nuit », et un album de chansons « Foulquier » (1993).
Source AFP
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Rodman
Expert arbitrage/blessure bidon
(Mythe)
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Jean-louis Foulquier nous a quitté également.
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Le réalisateur Edouard Molinaro est décédé à l'âge de 85 ans

Le réalisateur Edouard Molinaro est décédé, aujourd'hui, à l'âge de 85 ans, selon Le Point. Au cours de sa carrière, il a réalisé plus d'une trentaine de longs métrages comme "L'Emmerdeur", "Oscar" avec De Funès, "Hibernatus", "A gauche en sortant de l'ascenseur" avec Pierre Richard, ou encore les deux premiers épisodes de "La Cage au folles". Pour la télévision, Edouard Molinaro avait notamment réalisé "Un homme par hasard", avec Frédéric Diefenthal et Claire Keim, ou encore "Une famille pas comme les autres", avec Line Renaud et Guy Bedos.
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SliM Shady
All Star Team !!!
(Mythe)
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RIP madiba
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Le général Aussaresses, défenseur de la torture en Algérie, est mort à 95 ans.
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L'inventeur d'Orangina est mort
Par Europe1.fr avec AFP

Génie de la communication, Jean-Claude Beton est mort lundi à Marseille à l'âge de 88 ans.

Jean-Claude Beton, génie de la communication qui a transformé Orangina, boisson gazeuse née en Algérie en 1936, en un soda mondialement connu à la bouteille culte, est mort lundi à Marseille à l'âge de 88 ans, a-t-on appris mardi de sources concordantes.
Le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin, a fait part dans un communiqué de son "émotion", saluant un "inventeur de génie". "A l'avant-garde de la communication et du marketing, Jean-Claude Beton et son soda aux célèbres courbes ont participé à l'essor économique de la ville et marqué de nombreuses générations du monde entier", souligne l'élu.
"C'est la perte d'un entrepreneur qui a fait rayonner le territoire Marseille Provence dans le monde entier", a réagi de son côté Jacques Pfister, président de la Chambre de commerce et d'industrie (CCI) et ancien PDG d'Orangina-Schweppes, rendant hommage à "un surdoué de la communication". L'aventure avait commencé à Boufarik, à une trentaine de km d'Alger, où l'entrepreneur naît le 14 janvier 1925, dans une famille de commerçants prospères.
En 1936, son père sort la première bouteille d'"Orangina, soda de naranjina", à partir d'une formule élaborée par un pharmacien de Valence en Espagne. Les ingrédients: concentré d'orange, eau sucrée gazeuse et un soupçon d'huile essentielle. Mais la guerre civile espagnole, puis la Seconde guerre mondiale stoppent le projet.
Jean-Claude Beton, diplôme d'ingénieur agronome en poche, ressort l'idée des cartons et en 1951, le projet se concrétise. La bouteille s'arrondit et prend l'aspect granuleux des oranges. En dessinant un zeste d'orange en guise de parasol sur fond de ciel bleu, une table de bistrot et la bouteille ventrue, l'affichiste Bernard Villemot donne une identité graphique à la marque.
Après avoir séduit le Maghreb, Orangina part à la conquête de la métropole où le groupe prend ses quartiers en 1961 à Marseille, à l'approche de l'indépendance de l'Algérie.
L'ascension est fulgurante et la structure familiale de plus en plus convoitée, pour finir par être croquée en 1984 par le groupe Pernod-Ricard.
Son fondateur, qui gérait l'entreprise à l'ancienne, maternant ses employés (instauration des 39 heures avant 1982, intéressement et participation), reste à la présidence un temps. Mais il commence rapidement une seconde vie, investissant dans les oliviers et surtout le vin avec l'acquisition du château Grand Ormeau, dans la prestigieuse appellation bordelaise Lalande-de-Pomerol, tandis qu'Orangina change de mains à plusieurs reprises jusqu'à son rachat par le japonais Suntory fin 2009.
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Umberto Panini, créateur des albums de vignettes à collectionner, est mort
On se souvient avec nostalgie des albums et des vignettes Panini, créées par les quatre frères italiens.

Peut-être qu'un de ses albums traîne encore dans un de vos cartons. Umberto Panini, dernier des quatre frères qui ont créé les albums et vignettes du même nom est mort vendredi 29 novembre à Modène (nord de l'Italie). Il était âgé de 83 ans et était malade depuis longtemps.
Avec ses frères, Giuseppe, Benito et Franco, ils ont créé les albums dans lesquels les enfants pouvaient collectionner des vignettes de footballeurs à coller. Selon le journal local Il Resto del Carlino, "son histoire, comme celle de ses frères, pourrait inspirer le scénario d'un film. Parce que l'histoire des Panini, comme celle d'Umberto, est quelque chose de fantastique, d'uniques". Dans la fratrie, Umberto, qui avait débuté chez Maserati, était responsable de la partie technique. Il avait notamment créé la machine pour emballer les vignettes.
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Lady M
TP fan :)
(Mythe)
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la voiture après le crash
Beaman
Houston fait peur !!
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Paul Walker est mort


La nouvelle du décès de l'acteur célèbre pour ses rôles dans Fast and the Furious ou encore American Boys vient d'être confirmée: Paul Walker s'est éteint samedi 30 novembre 2013 à Valencia, à l'âge de 40 ans.
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