A l’instar d’Antoine Walker attendu au Idaho Stampede, Rashad McCants a décidé de relancer sa carrière en jouant en D-League. L’ancien arrière de North Carolina et de Minnesota a signé avec les Texas Legends, la franchise affiliée aux Mavs.
Mais ce qui nous a marqués, c’est d’apprendre que McCants avait décidé de reverser son salaire (25 000 dollars) à une fondation (UrbanBorn) qui lutte contre l’échec scolaire.
Certes, avec ses 2.6 millions de salaire touchés en 2010, McCants est à l’abri du besoin pour plusieurs années (on l’espère…) mais c’est un geste tout à son honneur, surtout qu’on a souvent critiqué son immaturité.
« Je pense que jouer en D-League est le plus court chemin pour revenir en NBA, expliquait-il sur NB Fan House. J’ai décidé de rester aux Etats-Unis pour répondre aux besoins de ma famille et pour travailler auprès de la jeunesse défavorisée. Peu importe si je ne rejoue jamais en NBA, je n’arrêterai jamais d’aider les générations futures. »
Rappelons qu’aux Legends, on trouve d’autres joueurs de niveau NBA comme Antonio Daniels, Joe Alexander, Sean Williams ou Reece Gaines. Eux aussi ont refusé des offres en Europe pour garder un contact avec la grande ligue. On y trouve même Dominic Jones que les Mavs viennent tout juste d’envoyer.
Serait-ce le signe que Rodrigue Beaubois sera bientôt de retour ?
Putain RMC en D-League, ca me fait de la peine...
Ce mec a le niveau pour etre 6eme homme dans pas mal d'équipes NBA, dommage que son comportement soit si particulier à gérer.
-- Garcy22 a dit : C'est surtout le 4ème 20-20 (dont un 30-30) du mois pour Love, ce qui est assez énorme --
Kevin Love's 21-point, 22-rebound night Saturday was his fourth 20/20 game in November. The last NBA player to do that: Kevin Willis in 1991. Love has scored 20 or more points in seven of his last eight games.
il faut juste comprendre que bith a un problème avec le français
pour lui un shoot pour avoir +4 c'est un shoot qui permet de raccrocher la prolongation faut pas chercher à comprendre
J'ai vu le match aussi, Minny a été devant jusqu'à la fin de la prolongation, ce sont les 3 LF de Neal à 16 sec de la fin du 4ème QT qui permettent à SA d'égaliser. Et derrière Minny rate le tir de la gagne
Dans les 2 dernières minutes Darko a mis quelques tirs qui permettaient de passer à +4. A 30sec de la fin, y avait encore +5 pour les Wolves je crois bien
-- Larry a dit : -- Spurs9 a dit : -- Larry a dit : -- Ouais je ne sais pas ce qu'il lui arrive à Darko mais il est sur un nuage en ce moment. Et il prend des shoots décisifs en plus, comme contre SA. -- pas décisifs,sinon Minny aurait gagnée -- J'ai dit qu'il prenait des shoots décisifs, pas qu'il les réussissait. Et puis il en met un en fin de temps réglementaire qui permet à Minny d'accrocher la prolongation non? --
ben vu que les spurs n'ont pris la tête qu'à 49s de la fin de la prolongation non
-- Spurs9 a dit : -- Larry a dit : -- Ouais je ne sais pas ce qu'il lui arrive à Darko mais il est sur un nuage en ce moment. Et il prend des shoots décisifs en plus, comme contre SA. -- pas décisifs,sinon Minny aurait gagnée --
J'ai dit qu'il prenait des shoots décisifs, pas qu'il les réussissait. Et puis il en met un en fin de temps réglementaire qui permet à Minny d'accrocher la prolongation non?
-- Larry a dit : -- Ouais je ne sais pas ce qu'il lui arrive à Darko mais il est sur un nuage en ce moment. Et il prend des shoots décisifs en plus, comme contre SA. --
-- Garcy22 a dit : Nous assistons à la renaissance de Darko Milicic cette année à Minny : finalement il a bien fait de ne pas repartir en Europe car il est entrain de montrer de belles choses. Encore un effort et on oubliera qu'il était un bust de la draft --
Nous assistons à la renaissance de Darko Milicic cette année à Minny : finalement il a bien fait de ne pas repartir en Europe car il est entrain de montrer de belles choses.
Encore un effort et on oubliera qu'il était un bust de la draft
Avant-hier, Ron Artest affrontait le nouveau Michael Beasley, celui de Minnesota. Malgré la défaite, l’ailier des Wolves s’en est bien tiré, inscrivant 25 points. Mais Artest, pourtant limité à 5 points, n’était pas impressionné.
« Il devrait regarder LeBron James, » a-t-il expliqué. « Beasley est un meilleur shooteur que LeBron, mais l’intelligence n’est pas là. Il dit beaucoup trop de conneries au lieu de se concentrer sur le jeu. Il doit devenir un gagnant. »
Et Artest de rajouter que le néo-Wolf doit développer son jeu et non plus se reposer sur un seul mouvement d’attaque, comme il le fait actuellement.
« Il est tellement athlétique, rapide et costaud que ça marche. Mais, un jour, quelqu’un va l’arrêter. »
Michael Beasley, à qui l’on rapportait les propos du Laker sur le fait qu’il ne possède qu’un seul mouvement offensif, a répondu à la Michael Beasley.
« La raison pour laquelle je fais toujours la même chose est qu’ils n’arrivent pas à l’arrêter. Quand ils y arriveront, je ferai autre chose. »
Michael Beasley veut devenir golfeur professionnel
17 novembre
S’il y a bien une chose qu’on attendrait pas de Michael Beasley, c’est qu’il explique vouloir jouer sur le PGA Tour de golf après sa carrière de basketteur. C’est pourtant ce qu’il a expliqué à un journaliste de Dime Magazine dans un article à lire absolument si vous maitrisez l’anglais.
Le papier donne un très bel aperçu de l’état d’esprit de Beasley au moment ou une deuxième chance est donnée à sa carrière dans le Minnesota : un mélange de lucidité, d’ambition et d’envie de revanche. « Je sens que j’ai quelque chose a prouver, » annonce l’ailier.
Son transfert, il l’a appris grâce à des SMS de ses amis.
Dime : Quel a été ta réaction quand tu as entendu que tu était échangé ?
Michael Beasley : Je dormais. Je regardais « The Decision » avec LeBron et une fois qu’il a dit qu’il allait à Miami, je me suis endormi. Je me suis réveillé vers trois, quatre heures du matin et j’avais un million de SMS ! Ils disaient tous, « Oh man, on est là pour toi… On viendra te voir… » J’ai pensé « de quoi ils parlent tous ? » J’ai allumé NBA TV et ca disait « Beasley traded to the Timberwolves. »
A noter la réaction des proches qui donnent l’impression que Beasley va être envoyé en prison. Au-delà des anecdotes, Austin Burton, le rédacteur, réussit à bien saisir la dualité du personnage.
Dime : Qu’est ce qui serait une bonne saison pour toi individuellement ?
MB : Si tu demande à ma fierté et mon égo, je dirais que je veux être le meilleur scoreur, le meilleur rebondeur, le meilleur dans les interceptions, MVP et tout ça. Mais si tu demande à Michael Beasley la personne réaliste… Je dirais juste tout ce que je peux faire pour contribuer. Tout ce que je dois faire pour gagner. Si c’est 50 points ou 20 rebonds, 10 blocks, 10 interceptions. Tout ce qu’il faudra.
Preuve peut-être de sa nouvelle maturité, celui qui sera bientôt papa pour la deuxième fois explique aussi, au sujet du niveau de jeu auquel il pense se trouver actuellement : « Je suis tout en bas. Et je dirais ca parce que ca me donne une raison de me battre pour être au top. » Pas de doutes, Michael Beasley est en train de devenir un de ces joueurs talentueux et atypiques qui donnent du piment à la NBA.
Moi perso je suis un pro-Beasley et j'aurais vraiment kiffé le voir débarquer aux Nets mais bon ça ne s'est pas fait ...
Un TRES grand talent je pense, en espérant que ce début d'explosion va perdurer dans le temps, ce serait vraiment dommage qu'il gâche le basket qu'il a plein les mains !
Carrément pas, rien que le duo Pierce-KG en mange 10 comme eux au petit-déj'
C'est le plus prometteur, là d'accord.
Mais ils ont tout à prouver avant d'être considérés comme tel.
Love sera bon mais pas exceptionnel tant qu'il ne s'achétera pas une défense et Beasley a ses problèmes de comportement à mettre derrière lui.
Pour le reste 100%d'accord avec tout ce que tu as dit.
Il n’y a rien de ridicule, lorsque je lis que Parker est candidat au HOF, il n’y a rien d’étonnant à ce que Beasley s’aligne comme prétendant? As t il moins de talent ? Pas sur.
Dans deux ans, il sera libre de partir où il l’entend, et tous ceux qui lui tournaient autrefois le dos pourraient bien revenir lui faire les yeux doux.
La récidive n’est pas une fatalité, en tout cas j’aime à le croire. Sans nous faire rentrer dans un débat politique glissant, ce n’est pas parce qu’un adolescent a été perturbé, qu’il est irrattrapable, voué à l’échec, incapable de rester sur le « bon » chemin.
Beasley est un jeune Homme un peu turbulent, mais c’est un winner. Contrairement à Cousins, il ne m’apparait pas être atteint de narcissisme aigu, et ne présente aucun comportement asocial. La bonne volonté de ses parents devrait lui faire retrouver la voie de la raison.
Pour le reste l’avenir nous le dira. Mais si il ya bien deux joueurs complémentaires chez les Wolves, c’est bien Wes et Beasley, je ne comprends pas l’entêtement qu’à Rambis à ne pas les faire cohabiter dans le 5. La question sera ensuite de savoir si Beasley est capable d’assumer le poste 4 tout une saison ? A l’instar de LBJ je le crois apte à relever ce défis, puis au pire des cas, Wes Johnson peut jouer 2, il ne manquera plus qu’à drafter Kanter !
Je constate que les Médias s’emparent peu à peu du duo Love-Beasley, c’est une bonne chose. ESPN, titre, the best forwards tandem in the league ? Très probablement
Et tou le monde parle de joueur égoïste mais moi sur ce que j'ai vu j'ai pas ce sentiment: il fait tourner la balle, force pas trop pour une option n°1 et défend comme un mort de faim, c'est bien un des seuls d'ailleurs.
On n’avait pas mis longtemps avant de cramer ce bon vieux Mike Beasley. Rappelez-vous, c’était fin octobre, après un seul match seulement pour les Wolves. Au-delà du fait que B-Easy scorait et prenait des rebonds, l’homme aux cornrows avait surtout gardé son melon légendaire qui lui avait valu une bonne dose de benching time ces deux dernières années. On s’interrogeait alors sur sa capacité à s’intégrer dans une équipe de Minnesota discrète (trop même).
Est-on allé un peu trop vite en besogne ? Car après une série de matches corrects couronnés d’une adresse douteuse, Beasley semble enfin avoir trouvé le rythme et enchaîne à un tempo tout simplement impressionnant. 42 pts – 9 rbds contre les Kings, puis 35, 25 et enfin 28 points hier soir. Sur ces 4 matches, les Wolves ont qui plus est gagné deux fois : comme quoi, ce n’est pas que du scoring en vain.
A l’image d’un Kevin Love sur le toit du monde, Beasley semble marquer l’équipe de sa patte. Etonnant ? Pas tant que ça. On sait que pour exister, B-Easy doit être l’option numéro 1 ou 2 de son équipe mais quoi qu’il en soit la re-sta sur le terrain. Une chose qu’il ne pouvait pas obtenir avec D-Wade et encore moins avec LBJ et Jar Jar. Le Heat, même s’il a tenté le tout pour le tout histoire de s’en débarasser, doit quand même être conscient qu’il a lâché un gros potentiel, afin notamment d’avoir un Big 3 au lieu d’un Big 2 et un joueur comme Mike Miller. Mais sans trop prendre de risque on peut affirmer que même en ayant gardé Beasley aux côtés des Tres Amigos, la greffe n’aurait pas pris vu l’état d’esprit du bonhomme. En se retrouvant dans la peau du joueur majeur d’une équipe, il est tombé dans la situation idéale pour se relancer.
Pour autant, il était difficile de prévoir qu’il cartonnerait aussi tôt dans la saison après un début de carrière décevant à Miami. Lui qui souffrait d’une grave dépression aurait très bien pu retomber dans ses travers à l’annonce de son trade pour les Wolves. Après une présaison ratée et un début de championnat moyen, il semble pourtant avoir fait abstraction de ce qui l’entoure et kiffer à nouveau le basket. Rassurant d’une part, cela semble aussi montrer le travail que le bonhomme a dû faire sur lui-même pour se remettre d’aplomb.
Il s’adapte pour l’instant plutôt bien à une position nouvelle pour lui, celle d’ailier shooteur, et il n’y a pas (encore ?) eu de problème extra-sportif pour ce spécialiste de la casserole. Au sein d’une équipe jeune, il a tout simplement pu retrouver le genre d’ambiance qu’il appréciait à Kansas State, où il avait passé une saison entière sur une autre planète. Le dynamisme et la jeunesse des Wolves lui font clairement du bien.
Désormais, une seule question : combien de temps ce joli conte va-t-il durer ? Un joueur au superbe potentiel, mais qui par ses nombreux travers perd son basket avant de renaître de ses cendres, cela fait très Hollywoodien quand même. Sauf qu’avec Beasley, on ne voit pas pourquoi cela ne pourrait pas continuer. Bon à peu de choses près car maintenir un tel rythme de scoring semble difficile. Le scoring lui plaît et il devrait manger du ballon avec Kevin Love cette année, mais son temps de jeu dépendra peut-être aussi de l’éclosion ou pas du rookie Wesley Johnson. A temps de jeu égal, Beasley est pour l’instant le plus prolifique mais l’ex Orange de Syracuse en a sous le pied. Le retour de Jonny Flynn pourrait certes le priver de quelques shoots mais aussi le mettre dans d’encore meilleures situations pour marquer.
Surtout, sa longévité dépendra de sa capacité à appliquer l’attaque en triangle de Kurt Rambis, qui reste un système compliqué (Big Up Artest !). Car pour le moment, c’est le principal souci des Wolves et ça n’a pas vraiment évolué depuis qu’on l’a vu à Bercy : il ne semble pas encore très concerné par le respect du plan de jeu de Minnesota, dont il a tendance à interrompre la mise en place à chaque fois qu’il touche la balle. Pas forcément de bon augure à long terme, mais s’il continue à évoluer à ce niveau, Minnesota ne devrait pas tarder à décoller. De toute façon, si son passé trouble et son individualisme peuvent refroidir, les Wolves, déficitaires en joueur de qualité, n’auront d’autres choix que de prendre le risque de lui confier les clés de la maison.
-- AiR1 a dit : Beasley a beau avoir un certain talent, il est pour l'instant laissé à lui même dans une franchise à la dérive, je vois pas comment il pourrait vraiment devenir un acteur incontournable en NBA dans ce contexte. --
A moins que Laimbeer n'ait une influence positive sur lui.
Pour l'instant, j'ai l'impression que Beasley se tient à carreau pour ne pas décevoir à nouveau son père.
Assez d'accord. Les joueurs fragiles mentalement ont besoin d'une structure avec des "mentors" capables de les driver ou du moins agir en vrai leader à leur côtés pour les recadrer. Il y a plusieurs exemples pour lesquels cette théorie s'est vérifiée.
Beasley a beau avoir un certain talent, il est pour l'instant laissé à lui même dans une franchise à la dérive, je vois pas comment il pourrait vraiment devenir un acteur incontournable en NBA dans ce contexte.
-- Bibi a dit : Et s’il s’achète un cerveau, qu’il met du sien en défense, il a tout pour être au Hallf of Fame. --
Et pour gagner plus de titres que Bill Russell, aussi ?
Ton avis est intéressant mais tu es tellement pro-Beasley et subjectivement aveuglé que ça en devient ridicule.
Beasley à Minny, c'est le crash assuré (quote me). Why ? Parce que, au cas où tu ne l'aurais pas remarqué, les têtes brûlées s'écrasent (ou commencent à s'écraser) et s'achètent un début de conduite une fois qu'elles sont "noyées" dans un collectif puissant, avec des personnalités fortes et un intérêt supérieur.
Rodman était toujours un chieur chez les Bulls mais il n'a jamais été aussi performant, rentable et dévoué que quand il était encadré dans un collectif fort, à Detroit et Chicago.
J'ai l'impression que le Sheed de Detroit s'était un peu calmé. De même que j'ai l'impression que le Ron Artest des Lakers s'est calmé.
Tu ne vois pas un point commun à toutes ces équipes ?
Il n'y a rien de tout ça à Minny, une équipe à la ramasse. Et une franchise historiquement "tendre", où personne n'a assez de couilles pour recadrer un Isaiah Rider, un Stephon Marbury ou un Latrell Sprewell.
Quand Beasley recommencera à faire le con - et il recommencera -, il n'y aura personne pour lui botter le cul. Il sera d'autant plus tenté de le faire que personne n'aura assez de burnes pour lui tirer les oreilles et que l'équipe restera médiocre. Taper deux fois 35 points, c'est cool, ouais... Quand l'équipe sera à 7-48, on verra s'il aura toujours envie de les taper, ses 35 points...
-- BigTee a dit : Défaite logique, 105-111. On n'a jamais pu avoir le match en main. Love 22-17 mais une défense exécrable. Beasley 25-5-3 à 10/16, dommage qu'il est vite été gêné par les fautes. Il monte quand même bien en puissance. Telfair 18-8 Il nous faut un pivot,Milicic assure pas. 3-7 --
Faire glisser Love en 5 et Beasley en 4 (son poste de formation) ça peut pas le faire ?
Défaite logique, 105-111.
On n'a jamais pu avoir le match en main.
Love 22-17 mais une défense exécrable.
Beasley 25-5-3 à 10/16, dommage qu'il est vite été gêné par les fautes. Il monte quand même bien en puissance.
Telfair 18-8
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